Burkina/Média : Le CSC rappelle les organes de presse qui n’ont pas encore fait de dépôt légal à s’exécuter

CSC (Conseil Supérieur de la Communication), il faudrait songer à faire de la formation continue pour certains agents de la presse afin qu’ils évitent de faire certaines fautes banales en live à la radio, à la télé et même dans les journaux.
Les expressions suivantes :
1- Quelque part et non à quelque part (remarque aux journalistes Kientega, Oulon lors des émissions Presse Echo de BF1 les dimanches à 11h, Ouédraogo de Canal 3 de l’émission l’Habitat en question)
2- Je leur ai expliqué, Je leur ai dit, je leur ai souhaité, je leur ai permis, etc. J’ai expliqué à qui (Je lui ai expliqué ou je leur ai expliqué) et non Je les ai expliqué ou je l’ai dit, etc.
3- Après que tu es parti, Après que nous sommes allés, etc. Et non Après que tu sois parti / Après que nous soyions allés. Après que appelle le passé (passé composé, passé anterieur, etc.) Et non le subjonctif comme Avant que (Avant que tu ne partes, Avant que nous n’allions, etc.).
4- Et bien d’autres fautes. Ce n’est pas tolérable pour des hommes de médias lors des débats où des élèves et étudiants sont branchés. Et même pour l’honneur de ces hommes de médias et certains hommes publics, hommes politiques voire ministres, Chef d’État. S’ils ne veulent pas s’améliorer alors qu’ils ne prennent plus la parole en public, dans les médias, etc. Ou bien qu’ils le fassent en mooré, en dioula ou en fufuldé. Nous, on est scientifique avec Bac D obtenu grâce aux Maths, SVT, Français, Philo, EPS, etc. Fo pa fassé, nou veu arensé.