Burkina / Réquisition pour la lutte contre le terrorisme : « Nous sommes déjà au front », déclare Me Farama
13 septembre 2023, 19:46, par
Baoyam
Je suis désolé mais tous les Burkinabè ne sont pas dans la même dynamique. Il y a des Burkinabè parmi les terroristes. Il y a des Burkinabè qui veulent se débarrasser de IB quitte à mentir et à manipuler, peut importe que le pays plonge avec. Il y a des Burkinabè qui souhaitent que la paix reviennent mais n’hésitent pas à nuire parce que le pouvoir en place ne les associent pas à la gestion. Il y en qui veulent la paix mais prone une voix pour y parvenir qui est erronée et va conduire à la catastrophe. Il y a des puissances étrangères qui veulent instrumentaliser la liberté et la democratie pour mettre des battons dans les roues des autorités Burkinabè parce que leur orientation ne les plaît pas. Il y a des Burkinabè payés pour semer le désordre dans leur pays. A chacune de ces catégories, il faut réserver une réaction différente.
Le problème est que tous les soi-disant avocats de la liberté veulent la même liberté de parole pour tous, y compris les terroristes et ceux qui veulent détruire le pays. Ça ce n’est pas la liberté. Nulle part, pas même dans les pays où ceux-ci tirent leur inspiration, cela est permis.
On ne peut pas avoir la même liberté de parole en temps de paix et en temps de guerre. En temps de paix, les conséquences de l’informafion sont minimes. En temps de guerre, certaines informations peuvent avoir des conséquences désastreuses.
Où se trouve l’appel à une responsabilité dans la prise de parole ? Où se trouve l’appel à taire les divergences de facettes pour se réunir et réussir le combat ?
Avoir son frère au front ne veut pas dire qu’on est soi-même au front. Est-ce que le frère qui est au front a la même perspective que celui qui est à Ouaga ? Si cette conférence de presse était ténue à Djibo ou Kombri après avoir échappé à des attaques, je parie que le ton allait être différent.
Je suis désolé mais tous les Burkinabè ne sont pas dans la même dynamique. Il y a des Burkinabè parmi les terroristes. Il y a des Burkinabè qui veulent se débarrasser de IB quitte à mentir et à manipuler, peut importe que le pays plonge avec. Il y a des Burkinabè qui souhaitent que la paix reviennent mais n’hésitent pas à nuire parce que le pouvoir en place ne les associent pas à la gestion. Il y en qui veulent la paix mais prone une voix pour y parvenir qui est erronée et va conduire à la catastrophe. Il y a des puissances étrangères qui veulent instrumentaliser la liberté et la democratie pour mettre des battons dans les roues des autorités Burkinabè parce que leur orientation ne les plaît pas. Il y a des Burkinabè payés pour semer le désordre dans leur pays. A chacune de ces catégories, il faut réserver une réaction différente.
Le problème est que tous les soi-disant avocats de la liberté veulent la même liberté de parole pour tous, y compris les terroristes et ceux qui veulent détruire le pays. Ça ce n’est pas la liberté. Nulle part, pas même dans les pays où ceux-ci tirent leur inspiration, cela est permis.
On ne peut pas avoir la même liberté de parole en temps de paix et en temps de guerre. En temps de paix, les conséquences de l’informafion sont minimes. En temps de guerre, certaines informations peuvent avoir des conséquences désastreuses.
Où se trouve l’appel à une responsabilité dans la prise de parole ? Où se trouve l’appel à taire les divergences de facettes pour se réunir et réussir le combat ?
Avoir son frère au front ne veut pas dire qu’on est soi-même au front. Est-ce que le frère qui est au front a la même perspective que celui qui est à Ouaga ? Si cette conférence de presse était ténue à Djibo ou Kombri après avoir échappé à des attaques, je parie que le ton allait être différent.