Gabon : Ali Bongo renversé par un coup d’État militaire
30 août 2023, 09:50, par
Sidpassata Veritas
« Aujourd’hui le Gabon et demain, à qui le tour ? Au suivant !
Le⁶ vieux sage Michel KAFANDO a dit que ’’les yeux et les oreilles des femmes et des enfants de ce pays ce sont ouvert et plus rien ne sera comme vnt’’. On a ouvert repris l deuxième partie de cette déclaration et les politiciens addicts de leurs bonne vieille méthode n’y ont p cru parce qu’il ne voyient ucun oppont leur tenir tête. Il ont toujours mis de côté les populations qui sont devenues un acteur politique incontournable qui brandit ses aspirations et exige satisfaction. Oui et désormais, les aspirations profondes des populations qui avaient été souvent ignorées dans la ’’stabilité’’ des pseudos démocraties africaines constitueront de plus en plus la boussole de la gouvernance des pays africains : gare à celui qui perdra le Nord.
Ce qui se passe me semble faire partie du processus normal par lequel les populations finiront par se rendre maîtresse de leur destin. Puisqu’un tel processus n’est pas accepté par ceux qui profitent de ce système, il ne peut pas être déroulé pacifiquement. Mais comme il est inévitable comme la la rotation de la terre et la levée du soleil, il progressera donc inéluctablement par crises successives. Ce ne sont que des crises de croissances politiques de nos pays qui ont été longtemps maintenus artificiellement dans nanisme politique, économique et social forcé. Qui vivra verra ! »
« Aujourd’hui le Gabon et demain, à qui le tour ? Au suivant !
Le⁶ vieux sage Michel KAFANDO a dit que ’’les yeux et les oreilles des femmes et des enfants de ce pays ce sont ouvert et plus rien ne sera comme vnt’’. On a ouvert repris l deuxième partie de cette déclaration et les politiciens addicts de leurs bonne vieille méthode n’y ont p cru parce qu’il ne voyient ucun oppont leur tenir tête. Il ont toujours mis de côté les populations qui sont devenues un acteur politique incontournable qui brandit ses aspirations et exige satisfaction. Oui et désormais, les aspirations profondes des populations qui avaient été souvent ignorées dans la ’’stabilité’’ des pseudos démocraties africaines constitueront de plus en plus la boussole de la gouvernance des pays africains : gare à celui qui perdra le Nord.
Ce qui se passe me semble faire partie du processus normal par lequel les populations finiront par se rendre maîtresse de leur destin. Puisqu’un tel processus n’est pas accepté par ceux qui profitent de ce système, il ne peut pas être déroulé pacifiquement. Mais comme il est inévitable comme la la rotation de la terre et la levée du soleil, il progressera donc inéluctablement par crises successives. Ce ne sont que des crises de croissances politiques de nos pays qui ont été longtemps maintenus artificiellement dans nanisme politique, économique et social forcé. Qui vivra verra ! »