Sur les « intellectuels » : « Le président du Burkina Faso se trompe », Kwesi Debrsèoyir Christophe Dabiré
29 août 2023, 20:34, par
Baoyam
Merci d’avoir donner la réplique. Dans le fond, le Capitaine IB Traoré ne pouvait pas rêver d’une meilleure défense de ses propos que ce long texte qui caresse l’esprit sans substantiellement l’edifier. Un exercice de manipulation de mots qui par ailleurs falsifie les propos du président. Le président ne rejette manifestement pas tous les intellectuels comme ce texte le prétend, seulement ceux qui s’appuie sur la maîtrise de la langue ou sur leur culture générale pour orienter les choses vers l’immobilisme ou un changement qui me change pas. De même il ne rejette pas aveuglément tout emploi de la langue française, seulement son usage comme signé d’autorité pour disqualifier toute autre idée ou jeter le flou dans les esprits sans but noble.
Aussi, s’il faut détourner les propos du président pour le critiquer, il suffit par contre de prendre certains de vos propos littéralement pour les qualifier d’insultes à une large catégorie de Burkinabè, les illettrés qui constituent pourtant la majorité.
La majorité du peuple est illettrée. A moins que les intellectuels convainquent qu’ils ont une solution à leurs préoccupations, ils préféreraient être dirigés par des non-intellectuels qui comprennent au moins leur préoccupation.
Merci d’avoir donner la réplique. Dans le fond, le Capitaine IB Traoré ne pouvait pas rêver d’une meilleure défense de ses propos que ce long texte qui caresse l’esprit sans substantiellement l’edifier. Un exercice de manipulation de mots qui par ailleurs falsifie les propos du président. Le président ne rejette manifestement pas tous les intellectuels comme ce texte le prétend, seulement ceux qui s’appuie sur la maîtrise de la langue ou sur leur culture générale pour orienter les choses vers l’immobilisme ou un changement qui me change pas. De même il ne rejette pas aveuglément tout emploi de la langue française, seulement son usage comme signé d’autorité pour disqualifier toute autre idée ou jeter le flou dans les esprits sans but noble.
Aussi, s’il faut détourner les propos du président pour le critiquer, il suffit par contre de prendre certains de vos propos littéralement pour les qualifier d’insultes à une large catégorie de Burkinabè, les illettrés qui constituent pourtant la majorité.
La majorité du peuple est illettrée. A moins que les intellectuels convainquent qu’ils ont une solution à leurs préoccupations, ils préféreraient être dirigés par des non-intellectuels qui comprennent au moins leur préoccupation.