Insécurité dans le Sahel : « La France fait partie de notre problème », déclare le gouvernement du Burkina

Bonjour Gwandba,
Ah, toutes mes excuses les plus plates, je vous pensais en train d’haranguer les peuples depuis votre confort ouagalais, alors qu’en fait vous êtes au front.
L’expression que vous utilisez ne ment pas : "Venez cette fois-ci vous-même sur le champ de bataille."
Vous ne dites pas : "partez à la guerre", "allez au front",... mais bien "Venez... sur le champ de bataille", ce qui signifie littéralement que vous y êtes déjà et m’invitez à vous rejoindre.
Hélas, je suis loin d’avoir votre bravoure et vais donc me contenter de suivre l’actualité depuis Koudougou, où je suis déjà effrayé des avancées terroristes que me rapportent mes amis fuyant la boucle du Mouhoun ou le Sourou.