Insécurité dans le Sahel : « La France fait partie de notre problème », déclare le gouvernement du Burkina
25 août 2023, 12:07, par
Jean
Arrêter de parler pour ne rien dire. Si l’armée française était au Mali et au Burkina, c’était bien pour mener une mission définie avec chacun des états. Pour évaluer, il faut se baser sur les missions attendues et les rsésultats obtenus. Mais rien ! En 11 mois de pouvoir MPSR II, et, depuis, le départ des militaires français, est-ce que la sécurité s’est améliorée ou dégradée ? Si on fait votre bilan, c’est plutôt une dégradation qui se poursuit et, maintenant, vous allez à l’aventure pour soutenir le Niger au lieu de se focaliser sur les terroristes. L’histoire retiendra que Serval a stoppé les terroristes du côté de Douendza au centre du Mali en 2011 et que Bamako aurait pu tomber quelques jours après. Monsieur le porte parole du gouvernement, expliquez nous comment ces terroristes gagnent beaucoup d’argent pour enrôler des jeunes, les doter de motos, armes, carburants, etc. Attaquer vous aussi à tous ces trafics qui leur permettent d’avoir beaucoup d’argent et, en débusquant tous les complices qui les alimentent. S’ils n’ont plus d’argents, le terrorisme va se tarir !
Arrêter de parler pour ne rien dire. Si l’armée française était au Mali et au Burkina, c’était bien pour mener une mission définie avec chacun des états. Pour évaluer, il faut se baser sur les missions attendues et les rsésultats obtenus. Mais rien ! En 11 mois de pouvoir MPSR II, et, depuis, le départ des militaires français, est-ce que la sécurité s’est améliorée ou dégradée ? Si on fait votre bilan, c’est plutôt une dégradation qui se poursuit et, maintenant, vous allez à l’aventure pour soutenir le Niger au lieu de se focaliser sur les terroristes. L’histoire retiendra que Serval a stoppé les terroristes du côté de Douendza au centre du Mali en 2011 et que Bamako aurait pu tomber quelques jours après. Monsieur le porte parole du gouvernement, expliquez nous comment ces terroristes gagnent beaucoup d’argent pour enrôler des jeunes, les doter de motos, armes, carburants, etc. Attaquer vous aussi à tous ces trafics qui leur permettent d’avoir beaucoup d’argent et, en débusquant tous les complices qui les alimentent. S’ils n’ont plus d’argents, le terrorisme va se tarir !