Burkina/Diffusion de dessins animés à caractère homosexuel : Le « gendarme des médias » doit se remuer vite
23 août 2023, 13:58, par
macaroni
Enfant de Boussé, ca se voit que l’alliénation coloniale est très poussée chez vous. Vous gobez sans filtre tout ce qui vous est présenté sous le couvert "d’ouverture d’esprit".
Des personnes comme vous constituent une ménace très grave pour l’humanité africaine et par conséquent à surveiller de très près.
Les autorités doivent s’assumer pleinement en adoptant les mesures suivantes :
1- Immédiatement interdir la diffusion de ces contenus.
2- filtrer les sites internet comme dans certains pays.
3- Tout média contrevenant s’expose à :
1 -Une amende de 500 000 000 cfa à 5 000 000 000 cfa
2- La fermeture définitive dudit média.
4- Un emprisonnement ferme de 5 à 10 ans pour les déviants nationaux et étrangers accompagné d’une amende de 250 000 000 cfa à 1 000 000 000 cfa et d’une expulsion pour les étrangers à la fin de leur peine d’emprisonnenment. (ailleurs c’est la décapitation).
Celui qui n’est pas d’accord peut quitter le Burkina Faso ou refuser d’y investir.
Enfant de Boussé, ca se voit que l’alliénation coloniale est très poussée chez vous. Vous gobez sans filtre tout ce qui vous est présenté sous le couvert "d’ouverture d’esprit".
Des personnes comme vous constituent une ménace très grave pour l’humanité africaine et par conséquent à surveiller de très près.
Les autorités doivent s’assumer pleinement en adoptant les mesures suivantes :
1- Immédiatement interdir la diffusion de ces contenus.
2- filtrer les sites internet comme dans certains pays.
3- Tout média contrevenant s’expose à :
1 -Une amende de 500 000 000 cfa à 5 000 000 000 cfa
2- La fermeture définitive dudit média.
4- Un emprisonnement ferme de 5 à 10 ans pour les déviants nationaux et étrangers accompagné d’une amende de 250 000 000 cfa à 1 000 000 000 cfa et d’une expulsion pour les étrangers à la fin de leur peine d’emprisonnenment. (ailleurs c’est la décapitation).
Celui qui n’est pas d’accord peut quitter le Burkina Faso ou refuser d’y investir.