Affaire "guérisseuse de Komsilga" : Le Conseil supérieur de la magistrature interpelle le chef de l’État
9 août 2023, 17:50, par
Sidpassata Veritas
Edperons, pour le bien supérieur de notre pays, que le président IB et son gouvernement vont se contenter de prendre acte de cette déclaration du CSM sans y apporter une réponse publique.
Espérons que le président IB et le gouvernement mettront les formes nécessaires pour entrer dans un dialogue constructif et non destructeur du CSM et des autres acteurs de l’institution judiciaire, car c’est ensemble qu’eux et tous les citoyens, chacun à son poste doivent être mobilisés pour sauver et construire un Burkina nouveau. L’ennem communi à abattre, c’est le terrorisme.
Quant aux incompréhensions et même aux imperfections des institutions et agents de l’État, elles sont à corriger avec méthode autre que celle de la guerre contre l’ennemi commun.
Il nous faut à tout prix éviter de ‹‹nous battre alors que nous sommes déjà batus par la pluie ›› comme la sagesse moaga nous le conseille. La lutte contre le terrorisme et tous les défis géopolitiques demandent beaucoup de nos énergies et commandent d’éviter ou de taire rapidement tout conflit ou toute tentions interne que notre ennemi interne peut exploiter pour affaiblir notre union sacrée pour !e salut national. Je supplie le partie een ‹‹conflit›› dans cette affaire de ne plus écouter tous ceux qui les soutiennent ou les poussent à l’affrontement ; cce sont soit des ennemis de notre nation, ou au mieux des gens qui vous aiment sans un discernement suffisant. La suite de cette affaire doit, à mon avis, être traitée dans la discrétion et le respect des procédures qui permettent à tout l’appareil de l’État de fonctionner sans heurts dommageables. Le Burkina Faso uni et fort, nous vaincrons. Sse déchirer revient à un suicide collectif. Que les premiers responsables laissent les hurleurs à côté et se retrouvent en toute responsabilité pour s’acquitter de leurs devoirs les uns avec les autres, pour le bien de toute la nation. RESPONSABILITÉ OBLIGE !
Edperons, pour le bien supérieur de notre pays, que le président IB et son gouvernement vont se contenter de prendre acte de cette déclaration du CSM sans y apporter une réponse publique.
Espérons que le président IB et le gouvernement mettront les formes nécessaires pour entrer dans un dialogue constructif et non destructeur du CSM et des autres acteurs de l’institution judiciaire, car c’est ensemble qu’eux et tous les citoyens, chacun à son poste doivent être mobilisés pour sauver et construire un Burkina nouveau. L’ennem communi à abattre, c’est le terrorisme.
Quant aux incompréhensions et même aux imperfections des institutions et agents de l’État, elles sont à corriger avec méthode autre que celle de la guerre contre l’ennemi commun.
Il nous faut à tout prix éviter de ‹‹nous battre alors que nous sommes déjà batus par la pluie ›› comme la sagesse moaga nous le conseille. La lutte contre le terrorisme et tous les défis géopolitiques demandent beaucoup de nos énergies et commandent d’éviter ou de taire rapidement tout conflit ou toute tentions interne que notre ennemi interne peut exploiter pour affaiblir notre union sacrée pour !e salut national. Je supplie le partie een ‹‹conflit›› dans cette affaire de ne plus écouter tous ceux qui les soutiennent ou les poussent à l’affrontement ; cce sont soit des ennemis de notre nation, ou au mieux des gens qui vous aiment sans un discernement suffisant. La suite de cette affaire doit, à mon avis, être traitée dans la discrétion et le respect des procédures qui permettent à tout l’appareil de l’État de fonctionner sans heurts dommageables. Le Burkina Faso uni et fort, nous vaincrons. Sse déchirer revient à un suicide collectif. Que les premiers responsables laissent les hurleurs à côté et se retrouvent en toute responsabilité pour s’acquitter de leurs devoirs les uns avec les autres, pour le bien de toute la nation. RESPONSABILITÉ OBLIGE !