Burkina : Quand le procès « Dabilgou et six autres » signe le besoin crucial de réformes sérieuses du système politique !

Une solution radicale pour éviter que la campagne politique ne soit une compétition favorisant les plus riches :
 1- Interdire tout meeting et toute forme d’activité pour battre campagne.
 2- créer un comité national d’organisation de la campagne politique qui fonctionne avec, comme budget, l’argent qu’on donnait aux partis politiques.
 3 - Ce comité travaille en collaboration étroite avec la CENI : les candidats s’inscrivent longtemps à l’avance
 4 - La campagne proprement dite se résume en des interviews et débats avec et entre les candidats dans des émissions progrmmées par le comité national d’organisation de la campagne qui veille rigoureusement à l’egalité des temps de paroles entre tous les candidats.
 5- Ces émissions progrmmées seront radio et télédiffusées sur les chaînes nations et privées avec, pour les débats ou interviews importants (2e tour par exemple), une synchronisation.
Cette manière faire permet au riche et au pauvre de se faire connaître et de présenter et défendre son programme avec une véritable égalité de chance. Par ailleursles dépenses de cette campagne audiovisuelle limite les dépenses inutiles et toxiques destinées à l’achat des conscience. Elle est financée par le budget national et par la contribution des candidats et des sponsors.
Cette idée de campagne peut être enrichie, complétée et améliorée afin que l’argent ne soit pas l’élément décisif de l’élection