2e Sommet « Russie-Afrique » : Ibrahim Traoré invite ses pairs africains à arrêter de se comporter en marionnettes

Un beau discours qui devait être dit devant la tribune d’une réunion de l’ONU ou de l’UA, et non à un président comme Poutine qui ne pense qu’a son intérêt personnel. Un Poutine en tant qu’ex dirigeant du KGB et nostalgique de l’URSS et de la guerre froide, qui a suscité des manifestations populaires et démocratiques de "masses laborieuses". De nos jours sa guerre contre l’Ukraine le prouve.

C’est très difficile d’être un Thomas Sankara, et crier ’’’la patrie ou la mort ne suffit pas.’’’ Pour commencer il fallait refuser le cadeau empoisonné de Poutine. Le peuple Burkinabé n’a pas besoin de ce cadeau vu que la production agricole de cette année est fructueuse. Nous voulons une aide qui permette de se passer de l’aide. ’’’’’Exemple des armes en grandes quantités gratuites pour éradiquer les terroristes qui nous tuent comme des mouches afin que les déplacés retournent chez eux : Ou du matériel agricole pour nos cultivateur qui utilisent toujours les outils de moyen âge a savoir la daba ou même les charrues d’APICOMA, une aide Suisse qui nous a permis de se passer de l’aide.

Comme nous disait un diplomate Nigérien en poste au Burkina en 1984, ‘’’’’’’’le noir est un singe ! il adore imiter ! Quelqu’un risque toujours de se prendre quelque part pour Thomas Sankara et de proclamer sa révolution. Mais de quelle révolution s’agit-il en réalité ? Du folklore et de la phraséologie.

Oui I. Traoré, beaucoup des chefs d’états Africain présents à ce sommet ne te comprendront pas. Car, "Poutine n’entend surtout pas aider l’Afrique a la place des Africain", il préfère avec son groupe de terreur Wagner, laisser les Africains se vautrer dans leurs errements et leur mauvaise gouvernance pour qu’il continu à stagner dans leur sous-développement et leur mauvais gouvernance pour pouvoir faire pire que les impérialistes.

A cette réunion, il ne fallait pas accepter comme des mouches a ce cadeau empoisonné de Poutine : Il fallait que tous les chefs d’états Africain présents à ce sommet demandent à la Russie de respecter leur dignité et de parler la réalisation d’un programme populaire de projets de développement et non les appâter avec quelques graines comme on étaient des poulets. Être un Thomas Sankara c’est de compter sur ses propres forces qui est la règle d’or.

’’’’’’’’’’aujourd’hui plus qu’hier, le mythe Sankara est plus vivant que jamais. Il a défié le temps à tel point que l’enfant de tout un continent paraît aujourd’hui comme le chemin, pour beaucoup de Burkinabè et de jeunes Africains. Mais force est de constater que même si ses idées sont toujours célébrées, l’homme n’a apparemment pas encore eu d’héritier politique à sa taille, capable de chausser ses bottes et se hisser à la hauteur des espoirs qu’il avait suscités.’’’’’’’