Burkina/Culture : L’an 6260 africain célébré par le cadre "Deux heures pour nous deux heures pour Kamit"
10 août 2023, 07:54, par
pfff
Je découvre le calendrier Kémite, comme calendrier de l’Égypte ancienne... bien loin du Burkina.
Si on en croit les sources à disposition sur internet, si le calendrier Kémite a été remplacé en Égypte assez tôt (bien avant l’existence du calendrier géorgien ou même Julien), c’est parce qu’il posait un certain nombre de problèmes, notamment son décalage avec le soleil. Les savants égyptiens connaissaient le problème, et ils ne purent pas appliquer leurs corrections à cause de tenaces traditions, entrainant une dérive de calendrier.
Avant d’en arriver au calendrier grégorien contemporain, il y a eu pas mal de corrections et transformations (jusqu’au XXe siècle !), justement, pour l’aligner sur le besoin, qui est le même, quels que soient l’endroit et la civilisation sur la planète Terre : prédire aussi parfaitement que possible les événements directement liés à la rotation de la Terre.
Ce problème étant résolu, plutôt que de chercher à utiliser un calendrier ancien, même d’avoir opéré les corrections nécessaires pour qu’il soit efficace, il vaut mieux s’atteler à des problèmes contemporains. Ce n’est pourtant pas ce qui manque pour occuper les esprits brillants.
Curiosité : Rome, lieu de naissance du calendrier géorgien, est plus proche de Ouagadougou que le Caire, capitale égyptienne...
Je découvre le calendrier Kémite, comme calendrier de l’Égypte ancienne... bien loin du Burkina.
Si on en croit les sources à disposition sur internet, si le calendrier Kémite a été remplacé en Égypte assez tôt (bien avant l’existence du calendrier géorgien ou même Julien), c’est parce qu’il posait un certain nombre de problèmes, notamment son décalage avec le soleil. Les savants égyptiens connaissaient le problème, et ils ne purent pas appliquer leurs corrections à cause de tenaces traditions, entrainant une dérive de calendrier.
Avant d’en arriver au calendrier grégorien contemporain, il y a eu pas mal de corrections et transformations (jusqu’au XXe siècle !), justement, pour l’aligner sur le besoin, qui est le même, quels que soient l’endroit et la civilisation sur la planète Terre : prédire aussi parfaitement que possible les événements directement liés à la rotation de la Terre.
Ce problème étant résolu, plutôt que de chercher à utiliser un calendrier ancien, même d’avoir opéré les corrections nécessaires pour qu’il soit efficace, il vaut mieux s’atteler à des problèmes contemporains. Ce n’est pourtant pas ce qui manque pour occuper les esprits brillants.
Curiosité : Rome, lieu de naissance du calendrier géorgien, est plus proche de Ouagadougou que le Caire, capitale égyptienne...