Burkina/Saison hivernale : Une période d’anxiété dans le quartier non loti de Goundrin
19 juillet 2023, 22:12, par
Jeunedame seret
« « Quand il pleut, l’eau remplit la cour et entre dans les maisons. Mes enfants et moi sommes obligés de nous arrêter jusqu’à ce que la pluie cesse. Aussi, notre maison est au bord de ce grand ravin donc quand il pleut, nous avons peur qu’il y ait un éboulement. Lorsque nous sommes arrivés à Ouagadougou, cette maison était la seule qu’on pouvait prendre au regard de nos moyens. Nous sommes conscients qu’à tout moment, il peut y avoir un éboulement mais nous n’avons pas le choix », a expliqué madame Sana. » DOMMAGE ! Pourquoi toujours Ouagadougou comme refuge ? Il y a Kombissiri, Pô, etc.. Et vous attendez les éboulements pour dépêcher les choix ? Et vous attendez le gouvernement, déjà emporté par la guerre, de venir vous faire le choix ? Wahouuu !!!! À votre place je penserai rejoindre mon village natal reculé. Quitte à défier les terroristes. Il y a plus de sécurité à côté des parents qu’à côté des ravins.
« « Quand il pleut, l’eau remplit la cour et entre dans les maisons. Mes enfants et moi sommes obligés de nous arrêter jusqu’à ce que la pluie cesse. Aussi, notre maison est au bord de ce grand ravin donc quand il pleut, nous avons peur qu’il y ait un éboulement. Lorsque nous sommes arrivés à Ouagadougou, cette maison était la seule qu’on pouvait prendre au regard de nos moyens. Nous sommes conscients qu’à tout moment, il peut y avoir un éboulement mais nous n’avons pas le choix », a expliqué madame Sana. » DOMMAGE ! Pourquoi toujours Ouagadougou comme refuge ? Il y a Kombissiri, Pô, etc.. Et vous attendez les éboulements pour dépêcher les choix ? Et vous attendez le gouvernement, déjà emporté par la guerre, de venir vous faire le choix ? Wahouuu !!!! À votre place je penserai rejoindre mon village natal reculé. Quitte à défier les terroristes. Il y a plus de sécurité à côté des parents qu’à côté des ravins.