Coopération : Le Premier ministre en visite officielle au Nicaragua
20 juillet 2023, 10:35, par
kwiliga
Bon, Daniel Ortéga, c’est du sandinisme conscient, réaliste, raisonné.
Dans ce sens, après son élection à la tête du pays en 2017, il a immédiatement annoncé qu’il respecterait le traité de libre-échange centre-américain signé avec les États-Unis en mars 2006, et qu’il était prêt à négocier avec le Fonds monétaire international.
Pas d’arrogance inutile ni de crise diplomatique, donc, en ce sens, un exemple à retenir.
Notons néanmoins qu’arrivé au pouvoir en janvier 2007, puis est réélu de manière controversée en 2011, 2016 et 2021, alors que sa présidence emprunte un tournant autoritaire. Le caractère de la répression s’intensifie durant son quatrième mandat, lors duquel plusieurs ONG, universités et journaux indépendants sont fermés et en ça, il présente plusieurs qualités nécessaires à intégrer la grande fédération des dictatures du Monde (bientôt un voyage en Birmanie et en Corée du Nord...?).
Après, question économie, le Nicaragua nous ressemble trop, pour que nous puissions espérer tirer partie d’une coopération avec ce pays, distant de plus de 9000km.
Eux, conservent l’espoir d’un canal transocéanique, pas loin de son achèvement et qui pourrait concurrencer Panama, nous, on n’a pas commencé à creuser vers le Ghana.
Puisque l’on apprend ici, qu’il a déjà été décidé (comment, par qui,...) que "des accords et un mémorandum seront signés", je suis impatient d’en connaitre le contenu.
Bon, Daniel Ortéga, c’est du sandinisme conscient, réaliste, raisonné.
Dans ce sens, après son élection à la tête du pays en 2017, il a immédiatement annoncé qu’il respecterait le traité de libre-échange centre-américain signé avec les États-Unis en mars 2006, et qu’il était prêt à négocier avec le Fonds monétaire international.
Pas d’arrogance inutile ni de crise diplomatique, donc, en ce sens, un exemple à retenir.
Notons néanmoins qu’arrivé au pouvoir en janvier 2007, puis est réélu de manière controversée en 2011, 2016 et 2021, alors que sa présidence emprunte un tournant autoritaire. Le caractère de la répression s’intensifie durant son quatrième mandat, lors duquel plusieurs ONG, universités et journaux indépendants sont fermés et en ça, il présente plusieurs qualités nécessaires à intégrer la grande fédération des dictatures du Monde (bientôt un voyage en Birmanie et en Corée du Nord...?).
Après, question économie, le Nicaragua nous ressemble trop, pour que nous puissions espérer tirer partie d’une coopération avec ce pays, distant de plus de 9000km.
Eux, conservent l’espoir d’un canal transocéanique, pas loin de son achèvement et qui pourrait concurrencer Panama, nous, on n’a pas commencé à creuser vers le Ghana.
Puisque l’on apprend ici, qu’il a déjà été décidé (comment, par qui,...) que "des accords et un mémorandum seront signés", je suis impatient d’en connaitre le contenu.