Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Coopération Burkina-Guinée-Mali : « Nous ne sommes pas contre la CEDEAO, nous voulons donner l’exemple à travers nos trois pays »
10 février 2023, 16:02, par
kwiliga
Bonjour Gwandba,
Dès que vous me citez, je me reconnais dans l’instant.
Dites, vous écrivez (oui, je sais que ça vous agace) : "L’édifice monde ne sera pas entier si nous africains ne jouons pas notre partition dans ce concert des nations.". Encore une superbe métaphore, qui, mal interprétée, pourrait sembler tout droit extirpée du discours de Dakar.
Et oui, l’usage abusif de la métaphore, finit par engager son auteur.
Donc, à votre avis, aucun africain ne joue encore sa partition dans le concert des nations. Un peu comme si nous n’étions pas rentrés dans l’histoire...?
De mon point de vue, chacun joue sa partition, mais, comme dans un immense philarmonique, il y a des premiers violons, il y a des clarinettistes, des clavecins,... et il y a des timbales et des triangles.
Chacun y tient une place indispensable et chacun peut travailler à s’améliorer pour optimiser sa place et devenir un jour alto ou flutiste.
Pour l’instant, nos trois putschistes ont beau emboucher les trompettes de la renommée, rien n’en sort, que du vent.
Bon, je dois vous laisser, je dois aller laver mon bon maitre.
Bonjour Gwandba,
Dès que vous me citez, je me reconnais dans l’instant.
Dites, vous écrivez (oui, je sais que ça vous agace) : "L’édifice monde ne sera pas entier si nous africains ne jouons pas notre partition dans ce concert des nations.". Encore une superbe métaphore, qui, mal interprétée, pourrait sembler tout droit extirpée du discours de Dakar.
Et oui, l’usage abusif de la métaphore, finit par engager son auteur.
Donc, à votre avis, aucun africain ne joue encore sa partition dans le concert des nations. Un peu comme si nous n’étions pas rentrés dans l’histoire...?
De mon point de vue, chacun joue sa partition, mais, comme dans un immense philarmonique, il y a des premiers violons, il y a des clarinettistes, des clavecins,... et il y a des timbales et des triangles.
Chacun y tient une place indispensable et chacun peut travailler à s’améliorer pour optimiser sa place et devenir un jour alto ou flutiste.
Pour l’instant, nos trois putschistes ont beau emboucher les trompettes de la renommée, rien n’en sort, que du vent.
Bon, je dois vous laisser, je dois aller laver mon bon maitre.