Burkina Faso : Le marché Sankar-Yaaré ravagé par le feu, "des centaines de boutiques" parties en fumée

Non. Je vous remercie pour vos conseils mais nous sommes dans un pays où l’anarchie à atteind un niveau inacceptable. Tout le monde s’érige en expert en tout. Dans un pays, où lorsqu’il est question des problèmes universitaires, ce sont ceux qui ne savent même pas écrire leur nom qui en discutent, c’est dramatique. Pour comprendre le Burkina Faso, c’est simple, il suffit de prendre la route, la police est là au feu tricolore, accompagnée de VADS (volontaires de sécurité ) mais des individus se permettent de ne pas respecter les feux. Ce que la police aussi fait, c’est soutirer 3000 ou 5000 et laisser ces mal éduqués vaquer tranquillement à leurs besognes. Revenons sur le cas des incendies, celui du grand marché devrait en principe servir de leçon pour tous les autres marchés. Mais non, le Burkinabé veut la modernité mais refuse de respecter les règles d’une ville moderne. Lorque tu conseilles les frères commerçants d’utiliser les fils de qualité pour leur branchement ou les services d’un professionnel et d’avoir un extincteur au moins dans sa boutique qui lui fournit un bénéfice de 100 000 FCfa par jour, il te NASSAR YELA (c’est à dire de manière des blancs ou très intellectuel ou de je connais mais droit). Le drame aujourd’hui certains ont profiter du désordre politique pour s’adjuger tous les droits, se croient au dessus des lois de la république et personne ne dit mot.
Loin de moi, l’idée de me réjouir du malheur d’autrui mais rien qu’avoir l’occupation anarchique des activités commerciales dans nos quartiers, obstruant les voies et les virages, les stationnements gênants et j’en passe, je vous dis que le Burkina Faso n’a rien d’une ville, c’est un gros village où les villageois tout azimuts sans aucune instruction, des arrivistes se sont rencontrés. Tu ne peut même pas prodiguer de conseils à un jeune frère en circulation, il t’insultera sans regarder ta barbe. Après les dégâts, peut-être que les uns et les autres changeront. Toutes mes excuses à ceux que mon intervention pourrait choquer ou frustré. J’aime cette expression de Newton Ahmed Barry, même si je ne partage pas tous avis : DIEU AIDE CEUX QUI S’AIDENT.