Burkina Faso : Inata ou de la nécessité d’une révolte patriotique

Chaque chose a un temps comme on le dis si bien. s’il ya un temps pour la consolation, il y a aussi un temps pour la desolation. S’il ya un temps pour les promesses, il y a aussi un temps pour les hardiesses.
Et voici venu le moment de la bataille entre les promesses et les hardiesses. Rien se crée, rien se perd, tout se transforme,disait Lavoisier le chimiste. Celui qui fuit face à la necessité et la decisivité le paiera dans tous les cas. La Nature n’est pas bête et personne ne saurait l’escroquer.
Notre malheur, c’est notre soit-disant intellectualité qui ne vaut guère mieux que la bigoterie. Une analyse des causes selon des règles modernes de gestion des problemes et crises, ISO 9001 version 2008 ou 2015, nous indiquera les voies inexorables à adopter. Mais helas, l’ignorance crasse et la lacheté sous couvert de benoiterie se sont erigées en systeme de reference et en impose à tout un peuple meurtri, desemparé, martyrisé, au bord du precipice. Heureusement, la Providence avait averti le Prophète dès 2017 : une nuée d’obscurité se dechainera tel un tsunami à tout engloutir mais une lueur de toute-dernière minute la repoussera spectaculairement.. Du courage, jeûneurs et intercesseurs !
A bas Dieu et à bas l’intellection inculte et bigote !