Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Dégradation de la situation sécuritaire au Burkina : La Marche pour la patrie (LMP) espère un sursaut du président du Faso
3 décembre 2021, 16:19, par
Dibi
Le pays n’est pas tenu ! C’est un Etat failli.
Le pouvoir est totalement gangrené par la corruption, l’incompétence, sans vision, sans capacité ni fibre patriotiques.
Les accords de coopération monétaires (Franc CFA) et militaires (Bases françaises et G5-Barkhane) et interafricaines-régionales (CEDEAO-UA) empêchent toutes initiatives d’actions de souveraineté nationale et populaire.
L’opposition, toutes tendances confondues, n’est pas crédible, et est minée par des considérations d’égos surdimensionnés, des gens tous aussi sans vision, sans programmes ou réduits à des étiquêtes électorales pour débiles à peine lettrés et au bénéfice d’entrepreneurs politiques les plus réactionnaires.
Les élites traditionnelles (chefferies locales) et modernes occidentalisées nagent tout autant dans l’entre-soi et les petits calculs de carrière ou d’enracinement local clanique, ethno-féodale.
La fameuse société dite civile sont aux abonnés absents ou dominée par les éléments les plus francophiles.
Les médias nagent dans un françafricanisme nauséeux.
Enfin, on espère qu’il y ait encore des colonels courageux, patriotes et intègres dans l’armée !
Car le peuple est livré à des charognards ou à des obscurantistes criminels en embuscade. Et pour quelles raisons ? Pour Dieu ? Pour imposer l’Islam qui impose le pantalon court aux hommes et la bâche aux femmes ? Que ni ni !
Car derrière ces accoutrements d’un autre âge de l’aliénation se cachent de redoutables politiques mafieuses de prédation et de mises en coupes réglées du pays, pour le grand bonheur de forces sociales insoupçonnées et à la manœuvre contre notre avenir commun. C’est l’autre face de la même médaille qu’est l’Etat failli aux mains de ceux qui sont aux affaires aujourd’hui à Ouagadougou !
Na an lara an sara !
La patrie ou la mort !
Ce cri de guerre et de rage que le Fasonet ne supporte plus contre la vermine ! Et pour cause !
Le pays n’est pas tenu ! C’est un Etat failli.
Le pouvoir est totalement gangrené par la corruption, l’incompétence, sans vision, sans capacité ni fibre patriotiques.
Les accords de coopération monétaires (Franc CFA) et militaires (Bases françaises et G5-Barkhane) et interafricaines-régionales (CEDEAO-UA) empêchent toutes initiatives d’actions de souveraineté nationale et populaire.
L’opposition, toutes tendances confondues, n’est pas crédible, et est minée par des considérations d’égos surdimensionnés, des gens tous aussi sans vision, sans programmes ou réduits à des étiquêtes électorales pour débiles à peine lettrés et au bénéfice d’entrepreneurs politiques les plus réactionnaires.
Les élites traditionnelles (chefferies locales) et modernes occidentalisées nagent tout autant dans l’entre-soi et les petits calculs de carrière ou d’enracinement local clanique, ethno-féodale.
La fameuse société dite civile sont aux abonnés absents ou dominée par les éléments les plus francophiles.
Les médias nagent dans un françafricanisme nauséeux.
Enfin, on espère qu’il y ait encore des colonels courageux, patriotes et intègres dans l’armée !
Car le peuple est livré à des charognards ou à des obscurantistes criminels en embuscade. Et pour quelles raisons ? Pour Dieu ? Pour imposer l’Islam qui impose le pantalon court aux hommes et la bâche aux femmes ? Que ni ni !
Car derrière ces accoutrements d’un autre âge de l’aliénation se cachent de redoutables politiques mafieuses de prédation et de mises en coupes réglées du pays, pour le grand bonheur de forces sociales insoupçonnées et à la manœuvre contre notre avenir commun. C’est l’autre face de la même médaille qu’est l’Etat failli aux mains de ceux qui sont aux affaires aujourd’hui à Ouagadougou !
Na an lara an sara !
La patrie ou la mort !
Ce cri de guerre et de rage que le Fasonet ne supporte plus contre la vermine ! Et pour cause !