Actualités :: Vote de la diaspora burkinabè : Le Tocsin en campagne de sensibilisation au (...)

La caravane de l’association le Tocsin, dans le cadre de sa sortie annuelle, a quitté Ouagadougou le vendredi 14 août 2009 pour le Ghana. Cette sortie est une occasion pour l’association de rencontrer les autorités ghanéennes et sensibiliser ses compatriotes sur le droit de vote des Burkinabè vivant à l’extérieur.

“Société civile et intégration régionale”, c’est sous ce thème que la caravane de l’association le Tocsin a quitté Ouagadougou le 14 août 2009 pour le Ghana. Ce voyage entre dans le cadre de sa sortie annuelle dans les pays de la sous-région. Cette sortie a pour but de fraterniser avec les Burkinabè vivant au Ghana. Au cours de ce voyage de dix jours,le Tocsin mènera des activités de sensibilisation sur le droit de vote de la diaspora burkinabè. Pour le président du Tocsin, Albert Ouédraogo, les Burkinabè de l’extérieur doivent se mobiliser pour l’élection du Président du Faso en 2010. Il estime qu’ils doivent faire valoir ce droit obtenu de “haute lutte”.
La vingtaine de caravaniers espère rencontrer le chef ashanti à Kumassi où elle passera trois jours. Après Kumassi, la caravane mettra le cap sur Accra où elle a demandé une audience avec le président ghanéen John Atta-Mills. Pourquoi le Ghana ?

“Le seul pays de la sous-région que nous n’avons pas visité, c’est la Côte d’Ivoire à cause de la crise. Nous avons choisi le Ghana parce que c’est le premier pays de la migration burkinabè. En plus, dans ce pays, les Burkinabè ont du mal à faire valoir leur droit d’accès aux documents”, a répondu Albert Ouédraogo. Pour ce voyage, le Tocsin visitera seulement les deux plus grandes villes ghanéennes alors que la majorité des Burkinabè est installée dans les zones reculées. “Il y a une forte concentration de nos compatriotes en ville. Ceux-ci ont des accointances avec ceux de la campagne. En allant en ville, le message va passer jusque dans les zones reculées”, a rassuré Albert Ouédraogo.
Outre les autorités coutumières et politiques, le Tocsin a prévu des séances de travail avec la société civile pour échanger sur des questions de droit humain. Ce voyage permet à l’association de confirmer son rôle humanitaire pour l’intégration des peuples. Le Tocsin est à sa huitième sortie dans la sous-région.

Boukari OUEDRAOGO et Toua Ladji TRAORE (Stagiaires)

Sidwaya

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