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Embouteillage monstrueux devant l’entrée principale des Editions Sidwaya. Cyclistes, piétons et conducteurs d’autos se sont entremêlés nez à nez. Le résultat est que la circulation a été bloquée pendant un bon quart d’heure.

Entre bousculades et attentes, des usagers comme ce cycliste, préfèrent se défaire de l’embouteillage en soulevant leur engin pour se faufiler.


Les vélocyclistes constituent un danger à Ouagadougou

Malgré la campagne de sensibilisations au code de la route, des usagers continuent de circuler, la nuit, sans phare. Si le constat est de plus en plus perceptible à des degrés moindres chez les motocyclistes et les automobiles, il l’est beaucoup plus criant chez les vélocyclistes. Plus de 90% de ceux qui utilisent le vélo comme moyen de locomotion dans la ville de Ouagadougou et de façon générale, au Burkina Faso, se déplacent pendant la nuit sans un minimum de dispositif d’éclairage. Sans phares et parfois sans freins, ils parcourent allègrement les artères et même celles qui ne disposent pas de lampadaires au mépris des règles de la sécurité routière, de leur vie, mais aussi et surtout de celle des autres usagers. Ces pratiques se font très souvent, au nez et à la barbe des agents de la sécurité routière.

Comme si "les sans phares" étaient autorisés au Faso, les agents de sécurité feignent de ne pas voir le danger. A telle enseigne que les vélocyclistes trouvent normal de circuler sans phare. D’ailleurs à les entendre, ils aiment à dire qu’ils se débrouillent mieux en circulant sans phares. Les forces de sécurité doivent revoir la copie à ce niveau car ces vélocyclistes mettent leur vie et celle des autres en danger


CHUYO : un peu de sérieux au niveau des plaques d’orientation

Juste après l’entrée principale du Centre hospitalier universitaire Yalgado Ouédraogo (CHUYO) se présentent des plaques d’orientation qui permettent de guider les patients et visiteurs qui s’y rendent. Une initiative salutaire si tant est qu’elles permettent aux uns et aux autres de se retrouver sans trop perdre de temps. Mais le hic, c’est qu’avec l’usure, ces plaques, le plus souvent en tôle métallique, se sont rouillées, avec des écriteaux ainsi illisibles si elles ne sont purement et simplement tombées. De sorte qu’elles présentent actuellement, une image désolante de manque d’entretien, voire de négligence de la part de ceux qui sont chargés de leur gestion. Une situation qui appelle à plus de sérieux.

Sidwaya

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