La 2e édition du concours « Sanya-vie » du ministère en charge de l’eau et de l’assainissement a connu son dénouement. La cérémonie de proclamation des résultats et la remise des prix a été présidée ce jeudi 21 mars 2024 par le ministre en charge de l’eau et de l’assainissement, Roger Barro, qui avait à ses côtés la directrice générale des eaux usées et excréta, Julienne Tiendrébéogo, et le représentant de l’UNICEF, Moustapha Harouna.
La proclamation des résultats et la remise des prix aux lauréats de ce concours « Sanya-Vie » se sont tenues ce jeudi 21 mars 2024 à Ouagadougou. Ils étaient au total six lauréats, dont deux prix officiels et quatre prix d’encouragement. Les lauréats des prix officiels sont Aziz Nabaloum des Editions Sidwaya, et Moussa Sanou de la RTB.
Ils sont entrés en possession de leurs prix qui sont composés, entre autres, de trophées, d’attestations et de chèques d’une valeur de 800.000 FCFA chacun. Les prix d’encouragement eux, varient entre 100.000 et 150.000 FCFA. Ce concours dénommé « Sanya-Vie », - la santé par l’hygiène en langue dioula- vise les meilleures productions journalistiques qui traitent les questions liées à l’assainissement des eaux usées et excréta. C’est la 2e édition.
- Remise symbolique des prix par le ministre en charge de l’eau et de l’assainissement, Roger Barro (à droite) et lauréat Moussa Sanou (à gauche)
Présidant la cérémonie, le ministre en charge de l’eau et de l’assainissement, Roger Barro, en compagnie de la directrice générale des eaux usées et excréta, Julienne Tiendrébéogo, et du représentant du partenaire (UNICEF), Moustapha Harouna, a saisi l’occasion pour féliciter les lauréats et encourager les autres candidats à continuer de travailler pour les éditions à venir. Il les a également invités à ne pas baisser les bras sur la question jusqu’à ce que les populations soient sensibilisées.
- Photo de famille des autorités et des lauréats
Cette remise des prix a été suivie d’un café-média qui a permis aux organisateurs de revenir sur les enjeux liés à l’assainissement des eaux usées et des excréta. Selon eux, en plus de porter la casquette de journalistes, ils doivent porter celle de citoyens et continuer, à travers leurs productions, à sensibiliser et à mobiliser l’ensemble des acteurs pour que les actions menées soient durables. Et surtout mobiliser et faire en sorte que les gens aient une responsabilité collective autour de la question.
Yvette Zongo
Lefaso.net
