Actualités :: Sit-in à L’ENSP : Les élèves réclament de meilleures conditions (...)

Des élèves de l’Ecole nationale de santé publique (ENSP), notamment les agents spécialisés, ont organisé un sit-in de protestation au sein de l’établissement pour réclamer de meilleures conditions d’études le mercredi 21 février 2007.

« Le respect strict de la durée de la formation à l’ENSP conformément aux textes en vigueur, la transmission des procès verbaux de délibération des examens de fin d’étude au ministre de la Fonction publique pour le reclassement au plus tard le 15 juillet et une révision des mesures d’accompagnement du milieu rural comprenant entre autres une augmentation du trousseau en tenant compte de la durée du stage ».

Tels sont les trois principaux points inscrits dans la plate-forme revendicative des élèves de l’Ecole nationale de santé publique (ENSP), qui ont organisé un sit-in, le mercredi 21 février 2007, au sein de leur établissement pour inciter l’administration de l’ENSP à prendre en compte leurs doléances.

Selon le coordinateur national des élèves de l’ENSP, Samuel Anawae Nion, le non respect de la durée de formation et la transmission de procès verbaux de délibération des examens de fin d’étude en décembre au lieu de juillet créent d’énormes problèmes de reclassement des élèves dans la fonction publique.

Les élèves, à travers leur porte-parole, reprochent également à l’administration de l’ENSP le non respect des dates de dépôt des élèves en stages en milieu rural et l’absence de prospection de terrain pour un meilleur stage des élèves. Ces derniers, selon le coordinateur Nion, sont souvent refoulés des services sanitaires parce que l’administration de l’école n’a pas pris la peine de prévenir les responsables de ces services sanitaires.

Pour mener à bien leur stage en milieu rural, les élèves réclament la hausse de la prime de stage qui est actuellement de 20 000 F CFA pour les élèves recrutés avec le Certificat d’études primaires (CEP), 25 000 FCFA pour le niveau brevet d’études du premier cycle (BEPC) et 30 000 FCFA pour le niveau baccalauréat et plus. Approché le directeur général de l’ENSP, le professeur Adama Traoré a souhaité se prononcer sur le sit-in après sa rencontre avec la coordination des élèves.

Alassane KERE

Sidwaya

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