Actualités :: Nationale 1 : Blaise en clando sur l’axe Boromo - Ouaga

Cher Wambi,

Demain 1er novembre 2003, la communauté chrétienne surtout catholique fête la Toussaint. Au "Pays des hommes intègres", elle aura une touche particulière, avec la commémoration du 43e anniversaire des forces armées nationales, placé sous le thème : "L’intégration sous-régionale pour la paix et le développement".

Cette année, c’est la ville de Sya, où l’on attend près de 2500 militaires, qui sera à l’honneur. Au nombre des invités, des militaires marocains, togolais, ghanéens et béninois entre autres dont l’arrivée effective a été annoncée.

Deux femmes parachutistes font partie de la délégation du Royaume chériffien et prendront part à la compétition de parachutage organisée à l’occasion.
Nos frères d’armes ivoiriens, eux aussi invités, n’avaient pas encore réagi au moment où je traçais ces lignes cher cousin. Craignent-ils la démonstration de force annoncée ? Comme cela est de coutume, ceux des militaires qui se sont honorablement distingués au cours de leur carrière seront décorés.
En principe, les heureux élus devaient être au nombre de 225, soit 200 sous-officiers et 25 officiers, mais pour cas de force majeure, ils seront 224. Parce que l’un d’eux, en l’occurrence le lieutenant Philippe Minoungou, né en 1949, qui, soit dit en passant, devait aller à la retraite le 1er janvier 2004 aux termes du décret n°2003-474/PRES/PM/DF du 22 septembre 2003, au même titre que les colonels Kassoum Ouédraogo, né en 1945, et Jean Pierre Bayala, né en 1944, ne sera pas de la fête puisqu’aux arrêts dans le cadre des enquêtes relatives à la tentative présumée de coup d’Etat.
De cette affaire, cher cousin, parlons-en.
Lundi dernier, le commissaire du gouvernement près le tribunal militaire, Abdoulaye Barry, a donné sa troisième conférence de presse depuis la révélation de ladite tentative le 7 octobre 2003.
Et qu’en retenir ?
Qu’au dire d’Abdoulaye Barry, les résultats de l’enquête ont confirmé la réalité de la tentative de déstabilisation, et l’implication évidente de pays étrangers. Qu’il existe contre les 16 personnes arrêtées des présomptions graves qui sont constitutives de trois crimes : la trahison en ce qui concerne le capitaine Ouali Diapagri Luther, et les crimes de complot et d’attentat contre la sûreté de l’Etat pour tous les 16.
Le dossier, cher cousin, est maintenant entre les mains d’un juge d’instruction, en l’occurrence le commandant Francis Somda.
Aux dernières nouvelles, un de nos officiers, qui était en stage à l’étranger, aurait été rappelé toujours dans le cadre de cette affaire qui risque d’entacher la fête du 1er novembre à Bobo-Dioulasso. Ce qui fait que d’aucuns se demandent si finalement le chef suprême des armées en personne, je veux dire Blaise Compaoré, présidera la cérémonie qui se veut pourtant grandiose.
Il me revient aussi cher cousin que le capitaine Boulédié Bayoulou a été conduit dans la garnison de la capitale du Houet, où il était jusqu’à son arrestation, en poste, pour une passation de service en début de semaine, avant d’être mis à la disposition du juge d’instruction.

De cette affaire, je passe à une autre cher cousin, pour te dire que l’assassinat de Tidiane Bibagui Paré le vendredi 17 octobre demeure une énigme. Les premières pistes auraient été balayées. Les enquêteurs privilégieraient actuellement la piste affaire mafieuse ou de mœurs.
Tu n’es pas sans savoir que dans le secteur de l’Eau où a longtemps exercé le regretté, il y avait de juteux marchés qui auraient bien pu aiguiser des convoitises, pour ne pas dire des appétits.
Mais l’on ne peut s’empêcher de se demander le pourquoi de ce long silence, ce mutisme des autorités tant judiciaires que policières qui laisse libre cours à toutes les supputations.

Retour forcé dans l’armée, cher cousin, pour t’annoncer le décès le 22 octobre dernier à son domicile à Gounghin de l’intendant militaire de 2e classe à la retraite Goama Charles Ouédraogo. Sais-tu de qui il s’agit cher Wambi ?
L’intendant a été président de la délégation spéciale de la ville de Ouagadougou après la chute de Maurice Yaméogo le 3 janvier 1966.
Grand pédagogue, c’est à lui que le célèbre bar dancing "Réjouissance" situé à Kamsaoghin/secteur 6 Ouaga doit son nom.
Son fondateur l’avait innocemment baptisé "Jouissance bar". De passage sur l’avenue Bassawarga, M. le président de la délégation spéciale, à la vue de cet écriteau, l’a jugé vicieux et inacceptable pour l’éducation de nos enfants, et l’a rebaptisé par conséquent à son goût : "Réjouissance bar".
Ça c’est pour ta propre gouverne cher cousin, et celle aussi des disciples de Bacchus qui l’ignoreraient.
Paix à l’âme de l’intendant militaire Goama Charles Ouédraogo.

Après la grosse frayeur de notre confrère Liermé Somé du jeudi 23 octobre dernier, nous nous sommes légitimement posé la question sur la suite réservée à cette affaire.
L’intéressé nous a affirmé hier avoir déposé plainte contre X tout en privilégiant la piste libanaise. Selon lui, sa grosse frayeur du jeudi pourrait être due à son article d’enquête dans l’Indépendant n°529 du 28 octobre dernier portant sur la fraude des motocyclettes au Burkina, avec pour titre l’empire maffieux de Fawaz Attié.
C’est un article dans lequel le journal montre comment Fawaz Attié, un industriel d’origine libanaise, a bâti son empire sur la contrefaçon au Burkina.
Selon notre confrère, certains compatriotes de Fawaz Attié (qui a quitté le Burkina depuis) qui avaient eu vent de la parution prochaine de cet article ne tenaient pour rien au monde à le voir paraître. Et ce pourrait être la cause de la grosse frayeur du jeudi.
Peut-être bien que les prochains jours nous situeront davantage.

Cher Wambi, sûrement que tu as été informé du démarrage du Tour cycliste du Faso, le 17e du genre, le mercredi 29 octobre dernier. Ce que peut-être tu n’as pas appris, c’est que la première étape, qui s’est courue entre Ouagadougou et Kaya, a été sponsorisée par la Loterie nationale burkinabè (LONAB) à hauteur de 30 millions de nos francs. Il ne pouvait y avoir meilleure publicité pour cette structure à la veille des différentes manifestations sous-régionales qu’elle abrite dans le cadre du Conseil de l’entente et de l’UEMOA.
Sache que dans le cadre du tirage spécial Entente 2004 qui aura lieu dans la capitale togolaise le 25 juin, quatre experts sur les cinq prévus (la Côte d’Ivoire n’a pas fait le déplacement) se sont attelés au dépouillement des offres relatives à la confection des tickets. Il s’agit de M. Noumonvi Kuassi du Togo, Mme Boglo Bibiane et M. Houangni Magloire côté Bénin, de Baravu Baroumgé du Niger et de notre compatriote Yacouba Tani au titre de la LONAB. Les résultats de leurs travaux seront soumis aux directeurs généraux des loteries du Conseil de l’entente ce samedi et c’est alors qu’on saura qui des deux soumissionnaires imprimera les tickets Entente 2004.
Et comme je te le disais plus haut, ce n’est pas le seul événement qu’organisent Zambendé Théodore Sawadogo et son équipe. Car, dans le cadre du 10e anniversaire de l’UEMOA qui sera célébré dans le mois de janvier 2004 à Niamey, les directeurs généraux des loteries des pays membres de cette institution se retrouvent ce vendredi même à son siège pour voir les stratégies à mettre en œuvre dans le cadre des dix ans de vie de cette union sous-régionale. Et comme il n’y a jamais deux sans trois, à peine les hôtes rentrés, la LONAB lancera ses deux nouveaux produits : le multi 4, qui fera plus de gagnants au quarté, et le 2 sur 4, pour un éventail plus large des heureux parmi les joueurs de couplés.

La chaîne du plaisir partagé a su cette semaine, au cours d’une de ses émissions, exciter la curiosité des téléspectateurs. Sait-on, demanda le journaliste, comment se nomment les habitants de la capitale de l’Oudalan, Gorom-Gorom ?
Bonne question, car si on connaît déjà les Ouagalais et les Bobolais, que dire alors des gens de Gorom-Gorom ?
En attendant que les Kini, Gnoumou et autres Sanou esclaves ou maîtres des Peulh donnent leur avis, que dirais-tu des "Goromites" ou "Goromiens"...
J’espère en tout cas que très bientôt, les spécialistes de l’onomasiologie (étude linguistique de la désignation par un mot selon le Petit Robert) donneront une réponse scientifique à cette question.

Les mordus de sport de haut niveau attendaient impatiemment l’inauguration de leur palais à Ouaga 2000. Et ceux qui sont du milieu savent que les travaux de ce gigantesque ouvrage ont été arrêtés depuis belle lurette.
Pour la simple raison, cher cousin, que la coupole de notre palais des Sports est à Abidjan. Du fait de la crise que traverse la Côte d’Ivoire et du fait que la frontière entre nos deux pays était fermée, pas moyen l’amener à Ouaga.
Pendant combien de temps encore restera-t-elle en otage ?

En attendant, feuilletons ensemble le carnet secret de Tipoko l’Intrigante.

* Youssouf Ouédraogo, le ministre d’Etat, chargé des Affaires étrangères et Jean de Dieu Somda, son ministre délégué à la Coopération régionale devaient recevoir hier à 16h les ambassadeurs accrédités auprès de notre pays.
Avec la vingtaine de plénipotentiaires, le chef de la diplomatie burkinabè devait aborder des sujets touchant à l’actualité nationale, notamment la tentative présumée de putsch qui aurait été déjouée début octobre, mais peut-être aussi l’insécurité ambiante marquée récemment par le meurtre, dans son bureau, de Tidiane Bibagui Paré, précédemment directeur général de l’Approvisionnement en eau potable.
Youssouf II et ses interlocuteurs d’hier devaient aussi évoquer la situation sous-régionale avec le processus de réconciliation en Côte d’Ivoire, qui est depuis des semaines au point mort mais aussi, peut-être, du Liberia où malgré les espoirs réels de paix consécutifs à l’exil de Charles Taylor à Kalabar le terrain est encore instable.

* Après les multiples tirs croisés sur la dégradation précoce du tronçon Boromo-Bobo-Dioulasso, le président du Faso se serait rendu nuitamment sur les lieux pour constater de lui-même l’ampleur des dégâts.
Malgré la reprise annoncée des travaux par l’entreprise Razel, le grand sachem aurait tancé vertement les responsables de cette sale besogne.
Et à ce qu’on dit, des têtes, grosses comme petites, pourraient tomber d’ici là.
C’est certainement pour prendre les devants que des esprits malins chantent déjà et à tue-tête leur lassitude d’exercer au ministère des Infrastructures, des Transports et de l’Habitat.

* La mise en circulation officielle des bus de la Société des transports en commun de Ouagadougou (SOTRACO) est prévue pour le vendredi 7 novembre prochain.
Pour la réussite de cette opération qui fait la fierté des acteurs du privé burkinabè et de la commune de Ouagadougou, un expert belge serait actuellement dans nos murs pour épauler l’équipe dirigeante.

* Pour l’obtention du visa américain, des amateurs de raccourcis et de circuits parallèles se seraient fait gruger proprement.
Par qui ?
Par un ancien élément du régiment de sécurité présidentielle (RSP), reconverti en promoteur de l’élevage, de l’agriculture et des activités féminines.
C’est quelques dizaines de millions de francs cfa que ce prédateur impénitent aurait extorqué aux jeunes mordus de l’El Dorado.
Voilà bientôt trois mois que le prétendu voyage pour un forum (?) aux USA n’a pas lieu.
Pire, monsieur l’ancien codo du Conseil de l’entente reste introuvable dans la cité. Les victimes, qui attendent en vain d’être remboursées, entendent dire d’elles par des intermédiaires : "Je peux les faire fusiller dans le noir".
Ah ! Nous qui croyions révolue la triste époque du "On te fait et y a rien".
Les victimes continueront-elles à réclamer leurs droits au risque donc de se faire faire ?
Affaire à suivre.

* L’Afrique, encore elle, risque de faire les frais de la guerre mondiale contre le VIH/Sida, et pour cause.
Certains des médicaments génériques diffusés sur ce continent ne seraient pas conformes.
C’est ce que révèle l’agence Reuters depuis Paris.
Des analyses de l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS) réalisées sur des génériques anti-VIH ont révélé une formulation différente de celle mentionnée par le frabricant, avec une association d’antirétroviraux pourtant contre-indiquée.
C’est le cas du générique anti-VIH Ginovir 3 D* (Selchi Pharmaceuticals, laboratoire basé à Singapour) utilisé notamment en Afrique, mis à l’index par un réseau d’associations de lutte contre le Sida en Afrique de l’Ouest.
Les résultats de son analyse sont alarmants , car Ginovir 3 D* contient en réalité deux produits dont l’ulisation conjointe est contre-indiquée : la stavudine et la zidovudine.
De source généralement bien informées, Ginovir 3 D* est actuellement assez peu accessible en Afrique, mais le laboratoire a récemment pris contact avec des responsables de pays africains pour une large diffusion de ce produit.
A bon lecteur ... !
Ah, les Africains, ces éternels cobayes !

* Monsieur le Ministre des Enseignements secondaire, supérieur et de la Recherche scientifique

C’est avec honneur et respect que je vous adresse cette lettre pour exposer une situation que je trouve anormale et frustrante.
En effet, mon enfant, qui a réussi à l’examen du BEPC dès le premier tour, n’a pas eu la chance de voir figurer son nom sur la liste des élèves admis en classe de seconde. Après avoir fait le tour des établissements publics sans obtenir la moindre place, une chance cependant s’offrait à moi, car l’enfant d’un ami qui, lui, est admis et orienté en seconde C5 au lycée Philippe-Zinda- Kaboré voulait plutôt faire la technique. Ses parents, connaissant bien mes problèmes et ma situation sociale, ont non seulement proposé que cette place soit offerte au mien, mais en plus ont réglé les frais d’inscription afin que la place soit conservée. Avec ces quittances, mon enfant a fait une demande adressée au proviseur en vue d’obtenir ladite place. Dix jours plus tard, la demande fut rejetée avec le prétexte que cela n’est pas possible. Et moi je me demande en quoi cela n’est pas possible, d’autant plus qu’une place est libérée et qu’il n’est pas certain que tous les élèves présents en classes de seconde de cet établissement soient uniquement ceux qui ont passé au premier tour de l’examen et même si c’était le cas, une confrontation des notes serait souhaitable. A qui a-t-on attribué la place laissée par l’élève Djinko Mohamed B.I. de seconde C5, quittances n°255 et n°006017 ? ou alors restera-t-elle inoccupée ?
Monsieur le Ministre, je suis un travailleur déflaté du chemin de fer et suis au chômage depuis huit ans malgré mes diverses compétences et mon expérience.
Ne possédant de ce fait aucune ressource, je ne pouvais compter que sur cette alternative. Qu’elle soit possible ou pas, monsieur le Ministre, vous restez mon dernier recours, mon dernier espoir pour la résolution de ce problème ; car je souffre de voir cet enfant qui n’a même pas encore bouclé ses 15 ans pleurer chaque matin en voyant ses camarades aller à l’école sans lui. Dans ma situation actuelle de sans emploi, si une solution n’est pas vite trouvée, cet innocent risque de voir compromis un de ses droits fondamentaux qu’est le droit à l’éducation.
Pour à toute fin utile pouvoir apporter la preuve de ce que je dis, je solliciterais un entretien avec vous.

Dans l’espoir d’une réaction diligente à cette requête, veuillez agréer, Monsieur le ministre, l’expression de mes sentiments distingués.

Kaba Moussa
s/c Monsieur Diawara Ali à l’UNICEF
Ouagadougou - Tél : 30-02-35/Cel : 25-73-39.

* Les objectifs de l’Association des couturiers et couturières du Kadiogo (ACCK) déviés :

Une Association qui existe depuis 91 est devenue la propriété de quelques individus qui n’ont jamais eu l’idée de sa création. Les objectifs, les statuts et le règlement intérieur sont bafoués parce que le Bureau actuel est illégal et sans règles de fonctionnement.
Une Association dont certains membres du Bureau cherchent coûte que coûte à exclure d’autres sans motif pour mieux régner. Présentement, beaucoup de membres de l’ACCK et certains partenaires sont déçus de l’association. Nous membres de l’ACCK interpellons l’opinion publique, les partenaires et les structures d’appui à l’ACCK à revoir leur copie pour qu’il y ait la transparence dans la gestion de la chose publique et la cohésion du groupe et non la division et l’exclusion.
Comment peut-on comprendre qu’à une assemblée générale un membre ait posé une question sur le bilan financier pour comprendre et qu’après l’assemblée générale on lui téléphone pour proférer des menaces ? Donc cela veut dire que tout est flou et sombre dans l’ACCK et non transparent. Tout le monde sait que les décisions s’y prennent entre 2 ou 4 membres du bureau sans réunion de celui-ci. Administrativement, l’ACCK n’existe pas.

Un groupe de membres de l’ACCK déçus

* "Tentez la chance, devenez millionnaire ! - Grattez, y a l’argent dedans !".
Tels sont, entre autres, les messages de la Loterie nationale burkinabè (LONAB) distillés depuis des années à ses nombreux clients.
Peu sont ceux qui résistent à la tentation, et les millionnaires de la nationale de la chance sont au nombre des cheveux de la tête.
Parmi les heureux gagnants de Faso char, un des derniers nés de la LONAB, figure l’épouse d’un diplomate arabe, qui a reçu une moto le 21 octobre 2003 ; une belle dame dont on ne connaîtra pas l’identité de sitôt pour cause...
Parieurs, faites vos jeux !

Passèk Taalé

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