Actualités :: Lutte contre le terrorisme : « Notre stratégie est d’éradiquer la racine du mal (...)

Pour la seconde fois dans la semaine, le Conseil des ministres s’est tenu ce vendredi 1er février 2019 sous la présidence du chef de l’Etat, Roch Kaboré.

Au sortir de la rencontre, les ministres en charge de la sécurité, Ousséni Compaoré et de la Culture, Abdoul Karim Sango, se sont joint au porte-parole du gouvernement, Rémis Dandjinou pour le compte- rendu.

Prenant la parole en premier, Rémis Dandjinou est revenu sur les principaux dossiers à l’ordre du jour de ce Conseil.

Au titre du Secrétariat général du gouvernement, le Conseil a adopté un décret portant attributions des départements ministériels et un autre portant intérim au sein du gouvernement.

Pour ce qui est du département en charge de l’intégration africaine, le Conseil, suite aux conclusions du forum national de la diaspora, a instruit le ministre en charge du dossier de la mise en œuvre des recommandations issues dudit forum notamment l’élaboration d’une politique nationale de la diaspora, la mise en place de réseaux professionnels des Burkinabè de l’extérieur et le renforcement des capacités opérationnelles du ministère en charge de la question.

"NOUS TRAVAILLONS À CE QUE LES ATTAQUES CESSENT"

Au département en charge de l’eau, le Conseil a adopté un rapport de normes, critères et indicateurs d’accès à l’eau potable et au service d’assainissement des eaux usées et excrétas… Et ce conformément aux textes de l’Organisation mondiale de la santé(OMS)…

A son tour, le ministre de la Sécurité, Ousséni Compaoré, interrogé la situation sécuritaire, a indiqué que le gouvernement travaille à ce que les attaques cessent. « Notre stratégie est d’éradiquer la racine du mal et cela ne saurait se faire en deux jours… », confie-t-il.

En ce qui concerne le cas de Zabré où des engins explosifs ont été largués, le ministre Compaoré a indiqué que des enquêtes sont en cours pour déterminer la nature de ces engins. Et en temps opportun, dit-il, des rapports seront faits.

Quant au cas de Yirgou, Ousséni Compaoré a invité les journalistes à ne pas se précipiter sur les chiffres relatifs au nombre de victimes qui sont donnés çà et là. « Quand l’enquête aboutira, les chiffres officiels seront communiqués… Il n’y a aucun intérêt à cacher des chiffres », avance-t-il.

DCPM/Ministère de la Communication et des relations avec le Parlement

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