Actualités :: IVe édition de Dialogues de corps : Deux semaines de spectacles et de (...)

Les organisateurs de la quatrième édition de Dialogues de corps étaient face à la presse lundi 24 novembre 2003. La rencontre qui s’est tenue au Centre culturel français Georges Méliès de Ouagadougou visait à faire le point des préparatifs de ces rencontres chorégraphiques qui se tiendront du 29 novembre au 13 décembre 2003.

Deux semaines durant, des danseurs et des chorégraphes venus du Maroc, du Niger, du Sénégal, de la Côte d’Ivoire, d’Afrique du Sud, du Kenya, du Cameroun, de France et du Burkina Faso se retrouveront à Ouagadougou pour la IVe édition de Dialogues de corps. Organisée par le Centre de développement chorégraphique de Ouagadougou et la compagnie Salia nï Seydou, la IVe édition aura quatre grandes articulations.

Le premier volet sera consacré à la formation du danseur et du chorégraphe. C’est un moment de réflexion et d’action pour donner aux artistes, les connaissances dont ils ont besoin pour mieux s’exprimer.

A cet effet, l’événement connaîtra la participation de formateurs venus du Kenya, de l’Afrique du Sud, de la Côte d’Ivoire, du Cameroun, de France et du Burkina.

Le deuxième moment concerne la représentation de spectacles. Plusieurs compagnies africaines et françaises proposeront une vingtaine de spectacles au grand Méliès, au Carrefour international du théâtre de Ouagadougou (CITO), à la Maison des jeunes et de la culture.

Le troisième volet permettra une confrontation amicale des participants. C’est un moment de rencontres professionnelles, d’échanges et de partage d’expériences entre créateurs et danseurs. Quant au dernier axe, il concerne le volet exposition photographique et de projections de films.

Pour cette édition, les organisateurs avaient élaboré un budget de 80 millions mais seuls 39 millions ont pu être mobilisés. Ce qui pourra les contraindre à revoir à la baisse la participation des compagnies. Après avoir soumis leur dossier de demande d’appui au Projet de soutien aux initiatives culturelles décentralisées (PSIC), sans écho favorable, les organisateurs ne cachent pas leur ras le bol face à l’attitude de cette structure. "Comment peut-on évoluer si ton propre pays ne veut pas te soutenir ?" s’est interrogé Seydou Boro, directeur artistique de Dialogues de corps.

Enok KINDO
Sidwaya

Burkina /Culture : « Que vous gagniez ou perdiez, une (...)
Festival chrétien des opportunités et de la musique de (...)
SNC/Bobo 2024 : L’Union européenne sponsorise trois prix (...)
« Nuit du Bwamu » : Un cadre de promotion de la parenté à (...)
SNC/Bobo 2024 : Un bilan à chaud de la 21e édition
Boucle du Mouhoun/Commune de Konan : Des masques (...)
SNC/Bobo 2024 : Les portes se referment sur la 21e (...)
Prix spéciaux SNC 2024 : « Chaque prix décerné est un (...)
SNC Bobo 2024 : 27 acteurs décorés pour leur contribution (...)
Prix spéciaux SNC 2024 : Voici ceux qui ont raflé le plus (...)
« Culture en scène » : Un évènement pour valoriser davantage (...)
Burkina : L’Unicef offre un véhicule 4x4 à la direction (...)
SNC Bobo 2024 : Le comité national d’organisation honore (...)
Médias et culture : « La culture vit au Burkina mais la (...)
Burkina / SNC 2024 : Les "boys" sont également sur le (...)
SNC Bobo 2024 : Drissa Zon, nouveau roi des arènes
Promotion culturelle : La SNC et la fondation Festival (...)
SNC Bobo 2024 : L’exposition de livres, une caverne (...)
SNC Bobo 2024 : Des exposants se plaignent de (...)
Kundé 2024 : Six artistes internationaux et quatre (...)
« Les lieux sacrés sont eux-mêmes leurs propres gendarmes (...)

Pages : 0 | 21 | 42 | 63 | 84 | 105 | 126 | 147 | 168 | ... | 4494


LeFaso.net
LeFaso.net © 2003-2023 LeFaso.net ne saurait être tenu responsable des contenus "articles" provenant des sites externes partenaires.
Droits de reproduction et de diffusion réservés