A la suite de l’interview que deux héritiers nous ont accordée ( Voir : HERITAGE : Ils réclament 2,5 millions à leur oncle ) , à propos d’un contentieux avec leur oncle, nous avons reçu le droit de réponse ci-dessous de ce dernier.
En guise de réaction à ce qui a paru dans votre journal "Le Pays" n°4622 du 26/05/2010 page n°12, intitulé (Héritage) je me vois dans l’obligation d’agir, afin d’apporter quelques éclaircissements sur cette affaire qui, à mon avis, n’est que calomnie, diffamation et injures, qui coûtent plus cher que l’argent. Je suis et je reste ouvert aux deux prétendantes héritières, car ceux qui prétendent réclamer la part de deux sœurs (Felicia et Djélika) ont déjà eu leur part. Quant aux deux femmes ci-¬dessus nommées, elles peuvent à tout moment venir me voir pour entrer en possession de leur part, c’est ce que j’avais fait savoir à ceux qui sont venus vous voir pour publier cet article, et qui n’ont pour but, que de salir mon nom.
Quel est le rapport entre une histoire familiale et le fait d’être décoré, ou ma société, ou le fait d’être conseiller et pire, ma position religieuse dans mon village ? Si ce n’est que de la jalousie. Monsieur le Directeur, je viens dans cet écrit exiger une réparation du préjudice causé sur ma société dans votre journal, dans le cas contraire, je serai obligé de porter plainte contre le journal "Le Pays". Ma version est que les 2 femmes peuvent venir me voir à tout moment, avec justification, car ma porte est grandement ouverte pour elles. Veuillez agréer, Monsieur le Directeur, mes salutations anticipées.
Ali OUEDRAOGO
NDLR Vous n’aviez pas besoin de recourir aux menaces de plainte en justice pour exercer votre droit de réponse. Ce droit est prévu par le code de l’information. Nous ne cédons donc pas aux menaces mais au droit. Les menaces de plainte en justice n’ont jamais eu de prise sur notre volonté de permettre à nos lecteurs de s’exprimer librement dans le respect de l’éthique et de la déontologie. Comme vous le voyez, votre réaction a le mérite d’inviter publiquement vos neveux et nièces à venir vous voir pour que, ensemble, vous soldiez les comptes. C’est déjà ça et bravo à vous pour votre réaction positive.
Le Pays
