Actualités :: Examens 2009 : Bilan négatif pour le secondaire

L’Office central des examens et concours du secondaire (OCECOS), en partenariat avec le ministère des Enseignements secondaire, supérieur et de la Recherche scientifique, tient du 23 au 26 novembre 2009 un atelier bilan des examens de la session de 2009. Cette rencontre avait essentiellement pour objet de relever les insuffisances de la session passée pour mieux aborder celle de 2010.

Il est de coutume pour l’Office central des examens et concours du secondaire (OCECOS), après chaque session d’examen, d’organiser un atelier afin de faire le bilan organisationnel et de s’en inspirer pour les examens à venir.

Concernant la session de 2009, l’atelier bilan se tient du 23 au 26 novembre dans l’enceinte même de l’OCECOS. Cette rencontre a pour objet de faire le bilan des examens scolaires de la session de 2009 en diagnostiquant particulièrement les causes profondes des résultats peu satisfaisants de la session afin de faire des propositions pour de meilleurs résultats.

Pour Richard Guillaume Toni, directeur général de L’OCECOS, « la cause principale du très faible taux de réussite aux examens cette année est dû au pourcentage élevé des candidats libres dont on ne pourrait évaluer vraiment le niveau ».

Il s’agira donc pour les participants aux travaux de proposer, après une analyse intégrale de la situation, des solutions pertinentes dont la mise en œuvre devrait booster les résultats des examens. Par ailleurs, le présent atelier sera l’occasion de faire la synthèse des simulations sur le déplacement des copies réalisées dans les 13 régions du Burkina pour une harmonisation des points de vues afin de jeter les bases de sa mise en œuvre.

Selon Roger Tapsoba, conseiller technique du ministre en charge de l’Enseignement secondaire, « une telle démarche pourrait avoir des répercussions sur l’efficacité et la crédibilité même des examens ; toutes choses nécessitant des propositions à même de jeter les bases du déplacement des copies d’examen tout en minimisant les risques d’échec ».

Alphonsine M. Laure Ido (Stagiaire)

L’Observateur Paalga

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