Le samedi 4 juillet 2009, aux environs de neuf heures, pendant que des étudiants de l’UFR/LSH étaient en composition dans le bâtiment R+2 abritant l’Unité de formation et de recherche en Sciences économiques et de gestion (UFR/SEG) et celle en Lettres et Sciences humaines (UFR/LSH), un bruit assourdissant se produit dans le bâtiment, en même temps qu’une forte secousse ressentie surtout dans la partie supérieure de l’immeuble. S’ensuit alors une panique générale chez les occupants de l’immeuble qui, dans un instinct de survie, abandonnent les lieux.
Les étudiants, sortis précipitamment des salles de composition, sont, pour la plupart, indemnes, fort heureusement, à l’exception de quelques cas d’égratignures constatées chez certains d’entre eux. Aucun incendie n’est déclaré, et l’incident fut de courte durée.
Cependant, les causes d’un tel phénomène restent encore inconnues, à l’issue des premières enquêtes menées par les services compétents de l’université de Koudougou. Aussi, les autorités universitaires ont-elles adressé une correspondance à l’entreprise ayant eu en charge la construction du bâtiment pour lui rendre compte de la situation et surtout l’inviter à prendre diligemment contact avec le cabinet d’architecture « en vue de faire un diagnostic exact de tous les problèmes liés au bâtiment et de procéder à leur résolution dans les meilleurs délais, vu que la réception définitive n’est pas encore prononcée ».
L’université de Koudougou attend incessamment les résultats du diagnostic de l’entreprise et du cabinet responsables du marché de construction du bâtiment à toutes fins utiles. Pendant ce temps, elle invite tous ceux qui constateraient des phénomènes inhabituels du même genre à les signaler à l’administration de l’université.
Le Service de Presse et de Communication de l’université de Koudougou
L’Observateur Paalga
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