Actualités :: Le pouls de la cité : "Silence, on tourne"

A la faveur de la cérémonie de lancement officiel de la télévision du Laabli national "TVZ", le Premier ministre, Tertius Zongo a voulu s’essayer à la caméra. Ce caméraman d’un jour, souriant, a, sans doute, pu se rendre compte de la lourdeur de l’appareil et du poids du travail du caméraman, obligé parfois de faire de longues distances avec son outil de travail.

Au-delà de la caméra, le chef du gouvernement porte ici à l’épaule, l’un des symboles de la presse dans notre pays. Les femmes et les hommes des médias souhaitent, au vu de la lourdeur et de la grandeur de leur métier, que les autorités adhèrent à leur quête pour de meilleurs conditions de travail.


Un peu de sérieux dans le relevé des compteurs d’eau

La nationale de l’eau était jusque-là, aimée et félicitée pour le travail qu’elle abat, jour et nuit, afin d’offrir de l’eau potable aux populations. Mais, aujourd’hui, ce n’est que désillusion, parce que les gens commencent à se plaindre pour ne pas dire à être agacés. Qui pour une surfacturation, qui parce qu’il n’a pas reçu sa facture et qui d’autre encore, pour une fuite que les services de dépannage tardent à résoudre.

Un des problèmes récurrents est que les agents commis à cette tâche de relevé des compteurs d’eau ne font pas bien leur boulot. Il n’est pas rare de prendre sa facture d’eau et s’étonner de voir qu’à la case consommation, il est marqué zéro et le montant de la facture se résume à la redevance.

Aussi, lorsque l’agent se décide à relever votre compteur, on vous envoie une "facture salée" et c’est la croix et la bannière pour la régler afin de ne pas être privé d’eau, source de vie. C’est pourquoi nous demandons aux premiers responsables de la nationale de l’eau, d’être plus regardants sur le travail de leurs agents. Cela soulagera le citoyen d’innombrables désagréments, déjà qu’il tire le diable par ce qui lui reste de queue pour survivre.
Ainsi, l’entreprise regagnera son lustre d’antan : une entreprise citoyenne qui rend un service de qualité pour le bonheur des citoyens


Des serpents à la cité universitaire de Larlé

Depuis deux semaines, les locataires de la cité universitaire de Larlé vivent dans la terreur. Et pour cause ? La visite intempestive de petits reptiles indésirables que sont les serpents. Rien de surprenant quand on sait que cette cité est située juste à côté des rails, dans une cour où il y a beaucoup d’arbres et d’herbes. La panique est d’autant plus grande quand on sait qu’elle n’est habitée que par des filles. Par peur de les revoir dans leur chambre, comme ce fut le cas pour certaines, des filles préfèrent rejoindre leur famille. En attendant, le Centre national des œuvres universitaires (CENOU) a promis de désinfecter les lieux pour permettre aux habitantes de la cité, d’étudier en toute tranquillité, car il est indubitable que étude et inquiétude ne peuvent faire bon ménage


Des caniveaux dangereux au secteur n°28

Les aménagements de certaines voies à Ouagadougou, présentent parfois des dangers. C’est le cas au secteur n°28 où depuis l’année dernière, suite aux travaux de réhabilitation d’une des principales voies du quartier, des gros caniveaux ont été conçus sans balises de protection ni panneau de signalisation. Le danger est d’autant plus visible que ces caniveaux sont profonds et larges. Les concepteurs auraient dû mettre, ne serait-ce qu’aux tournants ou aux intersections, des signaux qui permettraient aux usagers d’éviter de tomber dans ces trous. Mais rien n’est fait et cela, depuis plus d’une année maintenant. Heureusement que par endroits, des populations riveraines pour éviter de voir des cas d’accident, ont essayé de mettre des signaux.

Il est vrai que les voies doivent être construites pour améliorer la circulation. Il est également normal que des caniveaux soient réalisés en vue de faciliter l’évacuation des eaux de pluie. Cependant, il ne faudrait pas que cela se fasse au détriment des populations elles-mêmes.
C’est le lieu d’interpeller les entreprises chargées d’exécuter les travaux, de penser à la vie des usagers. De leur côté, les usagers se doivent de circuler en faisant attention.

Sidwaya

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