Actualités :: Yaar de Gounghin : Qui a enlevé le petit Adama Siddbega ?

Le dimanche 19 octobre dernier aux environs de 10h, une femme, dont l’identité reste inconnue, aurait disparu avec un bébé de 10 mois du nom d’Adama Siddbega. Ayant profité d’un abus de confiance, elle aurait porté l’enfant au dos pour le cajoler et hop, elle a pris la poudre d’escampette avec le mouflet, laissant la maman, Rakièta Siddbega, sans voix.

Il n’y a rien de plus tragique pour une femme, du moins pour une famille, que de perdre son enfant. Quand c’est un décès, la douleur est vive, mais elle peut passer avec le temps.

Mais quand c’est une disparition (vol d’enfants), là c’est plus terrible, car on peut tout imaginer, de ce que feront les ravisseurs avec le bébé. C’est cette triste situation que vit la famille Siddbega, actuellement. Voici les faits tels qu’ils nous ont été relatés par Mahama Kafando, l’oncle d’Adama Siddbega, le demi-frère du papa, Mahamadi Siddbega.

La maman du garçonnet vend des condiments dans le Yaar de Gounghin. Le dimanche 19 octobre dernier, vers 10h, une femme qui aurait l’habitude de faire des câlins et des cadeaux au bébé depuis qu’il avait 2 mois, passait par là et a trouvé le petit qui pleurait.

Elle se serait proposée de le mettre au dos et de faire un détour le temps que Adama arrête de pleurnicher et s’endorme. La maman, mise en confiance par l’habitude, n’y trouva pas d’inconvénients. Et paf !

Elle prend la poudre d’escampette ; la pauvre mère, Rakièta, a fait le tour du marché en vain. La prétendue voleuse serait une coiffeuse dans le marché, mais là ou les indications convergeaient, elle est inconnue au bataillon.

Stupéfaction, la nouvelle s’est répandue dans tout le marché, mais jusque-là, personne n’a d’informations fiables permettant d’identifier la ravisseuse du petit Adama. On la connaît comme ça, sans plus.

En tout les cas, tous ceux qui auront vu une femme avec Adama Siddbega dans les bras sont priés de joindre le commissariat le plus proche. Ou au mieux, contacter Mahama Kafando, employé à Faso coton au 50 43 70 04 ou au 78 82 69 32 ou encore au 76 47 24 20.

C’est le lieu d’attirer l’attention des femmes qui s’adossent souvent sur certaines familiarités avec leurs semblables. Imaginez que quelqu’un vienne prendre votre enfant, devant vous, sans que vous ne connaissiez son nom. Y a quand même un peu de naïveté là dedans.

K.T

L’Observateur Paalga

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