Actualités :: Ramadan et Carême : La Fondation Orange vole au secours des fidèles (...)

Des cartons de sucre, des sacs de maïs, de petit mil et de riz, c’est le don de la Fondation Orange Burkina Faso aux communautés catholique et musulmane en ces moments de jeûne. Les remises officielles ont eu lieu le jeudi 21 mars 2024 à la grande mosquée et à l’archevêché de Ouagadougou en présence du secrétaire exécutif de la Fondation Orange, Ibrahim Hema.

C’est une tradition pour la Fondation Orange Burkina Faso. Chaque année aux périodes de jeûne et de carême, la Fondation Orange Burkina Faso apporte des vivres aux personnes démunies des communautés chrétienne et musulmane. Pour cette année, avec le « featuring » de ces moments de jeûnes, la Fondation Orange Burkina Faso a procédé aux remises de vivres le jeudi 21 mars 2024 à la grande mosquée de Ouagadougou puis à l’archevêché de Ouagadougou.

Les dons composés essentiellement de maïs, de riz, de petit mil et de sucre seront acheminés vers les personnes démunies par les autorités religieuses. Pour le secrétaire exécutif de la Fondation Orange Burkina Faso, Ibrahim Héma, ce geste est une contribution de l´entreprise Orange Burkina Faso à une rupture du jeûne dans la dignité, pour les personnes qui peinent à s’assurer un repas décent par jour. « La Fondation Orange Burkina Faso est présente ce jour, à la grande mosquée et à l’archevêché, pour manifester la solidarité des salariés et la solidarité de l’entreprise envers les différentes communautés qui composent notre pays. Notre démarche s’inscrit dans ce sens de partage pour ce mois de Ramadan et ce mois de carême que nous vivons en featuring », a souligné le secrétaire exécutif de la Fondation Orange Burkina Faso Ibrahim Héma.

Ibrahim Héma, secrétaire exécutif de la Fondation Orange Burkina

Par cette action, la Fondation Orange Burkina Faso s’inscrit dans la dynamique de ces périodes de jeûne qui, en plus de la pénitence recommandent le partage avec les plus démunis. À l’archevêché, l’archevêque de Ouagadougou, Monseigneur Prosper Kontiebo a rappelé cela aux bienfaiteurs du jour. « La communauté catholique de l’Archidiocèse de Ouagadougou est très honorée par cette démarche de la Fondation Orange Burkina Faso. Orange ne fait pas que du business, Orange nous montre par-là, qu’il fait du social et du solidaire. Le carême chez les chrétiens est marqué par trois axes à savoir la prière, le partage et la pénitence. Ce geste de partage de la Fondation Orange Burkina Faso vient nous rappeler un des trois piliers de ce temps de carême », a indiqué le vicaire général de Ouagadougou, l’abbé Alfred Ouédraogo prenant la parole au nom de l’archevêque.

La remise symbolique à l’Archevêché

Pour le secrétaire général de la communauté musulmane du Burkina Faso, Hatimi Démé, la contribution de la Fondation Orange permettra aux plus nécessiteux de faire face aux dépenses de ce mois de pénitence. « Nous remercions la Fondation Orange Burkina Faso à sa juste valeur. C’est un geste qui va contribuer à soulager nos frères musulmans les plus démunis, pour leur permettre d’accomplir leur devoir religieux à savoir le jeûne du mois de Ramadan, et les prières dans ce mois », a soutenu le secrétaire général Hatimi Démé. À l’entendre, la communauté musulmane dispose d’un répertoire de personnes démunies qui servira d’outil de répartition des vivres offerts par la fondation Orange.

Remise symbolique à la grande mosquée de Ouagadougou

Cette action marque le début d’une chaîne de solidarité de la Fondation Orange Burkina Faso à l’endroit des fidèles catholiques et musulmans démunis du Burkina Faso. Selon le secrétaire exécutif de la Fondation Orange Burkina Faso, Ibrahim Héma, des représentations de l’institution sillonneront les différentes provinces du Burkina Faso pour répéter le geste au niveau local. Au niveau de Ouagadougou, la fondation enchaînera les cérémonies de remises de vivres à la mosquée sunnite, à l’AEEMB et au CERFI.

En plus de soutenir les fidèles démunis dans les moments de jeûne, la Fondation Orange Burkina Faso intervient dans le développement du Burkina Faso notamment dans les domaines de l’éducation, de la santé et de la culture.

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