Actualités :: Ouagadougou : La jeunesse étudiante catholique marque une halte pour évaluer (...)

La Jeunesse estudiantine catholique du Burkina Faso (JEC) tient son comité national du 27 au 30 décembre 2021 à Ouagadougou. La cérémonie d’ouverture a eu lieu, le mardi 28 décembre 2021, sous la présidence de l’abbé Jule Nassa, aumônier national de la JEC.

Le comité national est la deuxième instance de la JEC au Burkina Faso. Et cette rencontre se veut être une aubaine pour les militants appelés « Jécistes » pour réfléchir sur la vie du mouvement. Pour le secrétaire national, Arsène Sawadogo, les activités du comité national entrent en droite ligne dans l’esprit du thème de l’année qui est intitulé : « Pétris pour un leadership convaincant, jéciste, œuvre pour la construction d’un monde de paix et d’inclusion. »

Vue des participants

Le présent comité vise à surtout faire un bilan de l’état de concrétisation du thème de l’année scolaire et d’harmoniser les programmes diocésains pour le reste de l’année académique 2021-2022. Et ceci à cause du rôle de la JEC dans la société. En effet, elle a pour mission principale d’aller vers la jeunesse burkinabè, de lui annoncer la bonne nouvelle, de lui inculquer les valeurs tels la solidarité, la fraternité, le dialogue… Les jécistes seront outillés sur les problématiques des inégalités sociales ; sur l’efficacité de la communication ; l’utilisation des outils informatiques etc.

Arsène Sawadogo, secrétaire national de la JEC

Pour la réussite des 75 ans (en 2023) de la JEC au Burkina Faso, un comité ad hoc a été mis en place et est piloté par Felix Kaboré, ancien jéciste. A l’entendre, ce forum est le bienvenu en ce sens qu’il va permettre aux uns et aux autres d’apporter des suggestions pour faciliter les préparatifs de cet évènement.

Félix Kaboré, président du comité ad hoc pour les préparatifs des 75 ans de la JEC au Burkina Faso

Quant à l’aumônier national, il a rappelé que la JEC étant un mouvement d’action catholique et d’apostolat des laïcs, elle est un véritable lieu d’éducation. D’où cette exhortation à l’endroit des participants à cette session pour plus d’ardeur au travail bien fait : « Appliquez-vous à bien faire toute chose car Dieu ne récompense pas le verbe faire mais l’adverbe bien, peu importe le verbe faire si l’adverbe bien ne s’y rapporte ». (citation de Bernard de Claireveaux)

D.A.K
Lefaso.net

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