D’Abu Dhabi où il prend part au VIIIe Forum mondial de l’Investissement, organisé par la Conférence des Nations-Unies pour le Commerce et le Développement, et où il doit intervenir demain, mercredi, 18 octobre 2023, sur la question des minerais critiques et la transition énergétique, Zéphirin Diabré a bien voulu se prononcer sur le "mémorandum d’entente" que le gouvernement de la Transition vient de signer avec l’Agence russe de l’énergie atomique Rosatom pour développer des centrales nucléaires au Burkina Faso.
On se souvient que cette idée de centrale nucléaire au Burkina a été publiquement lancée par lui, pour la première fois en avril 2015, puis distillée dans ses programmes de campagnes présidentielles de 2015 et de 2020.
L’idée avait justement fait jaser, tant considérée comme irréaliste, populiste, sinon, du fanatisme. Comment « monsieur AREVA d’Afrique et du Moyen-Orient », Zéphirin Diabré, a-t-il donc accueilli cette annonce du gouvernement de la Transition ?
Quelles peuvent être les modalités et implications de l’opérationnalisation de centrales nucléaires au Burkina ? C’est, entre autres, à ces questions que l’ancien Chef de file de l’opposition politique au Burkina Faso a réagi à travers cette interview qu’il nous a accordée, et dans laquelle, il revient aussi sur son idée de construction de "canal" reliant la mer.
INTERVIEW A LIRE ICI : Burkina/Energie nucléaire : « Dans ce domaine comme dans beaucoup d’autres, l’Afrique doit sauter les étapes. Nous sommes en retard », pousse Zéphirin Diabré
Oumar L. Ouédraogo
Lefaso.net
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