Chefferie coutumière à Fada : « Les politiciens qui ont jeté l’huile sur le feu doivent l’éteindre », Pr Taladidia Thiombiano
26 mai 2020, 15:37, par Ka
Merci Pr. T. Thiombiano pour cette analyse impartiale et simplement citoyenne. Oui je confirme que les politiciens aux petits pieds de notre pays divisent nos chefs coutumiers pour les pouvoirs régionaux et qui mette de l’huile dans le feu. Tout dont je souhaite au pays des hommes intègres, c’est qu’à l’Assemblée Nationale on vote une loi de régulation sociale, faute d’une institution de régulation sociale de notre société traditionnelle inexistante, comme il en existait au temps de mon ancêtre Naaba Koutou ; en ce moment-là, notre société traditionnelle était très, très vivante.
Avec ce qui se passe avec nos chefs coutumiers les garants de notre culture, je propose au régime de Roch Kaborè d’améliorer impérativement notre démocratie sur la base des principes transversaux des différentes sociétés traditionnelles de notre pays : Surtout d’interdire nos politiciens aux petits pieds de mettre leurs sales pates dans les affaires coutumières comme celle-ci dont les partis politiques avec un commis de la mairie foute la merde pour salir la dignité d’une ethnie très honorable. Si je dis d’interdire les cadres des partis politiques qui retournent dans leur région dont le seul but est de lutter pour les pouvoirs régionaux, ce sont eux les petits politiciens aux petits pieds qui s’opposent aux nominations des vrais chefs coutumiers, et manipulent les commis des communes avec des miettes, et qui bafouent notre culture comme ce qui se passe a Fada.
A Fada avec ces deux rois dont un reste qu’un fantôme, il y a du mensonge qui est la racine de tout dans cette affaire familiale. Et je dis a un de ces deux rois que ‘’’’le mensonge dégrade la dignité de l’homme, il suppose dans celui qui l’emploie le dessein prémédité de vouloir tromper. De quel œil le menteur peut-il être regardé dans le monde par les gens sensé et raisonnables ?’’’’ De toutes les façons, DESMOND MPILO TUTU, archevêque anglican sud-africain, prix Nobel de la paix a dit que : « Notre valeur dépend intrinsèquement de ce que nous sommes. » ; En ajoutant à cela que : « Rester neutre face à l’injustice, c’est avoir choisi son camp. » Et je dis à nos autorités de ne pas choisir ce camp là, mais dire la vérité a celui qui a tort, même s’il faut l’enfermer à la MACO pour que la paix revienne dans ce royaume.
Conclusion : Au Burkina de 2020 nous avons besoin d’une catharsis nationale sans tabous, il faut mettre sur la table la naissance ethnique de cette Nation, entrer dans sa sociologie ethnique et arriver probablement à la conclusion que toutes les ethnies du pays ont les mêmes droits et devoirs dans ce Faso : Et chaque ethnie a ne citer que les Dozos qui n’oublient rien, doit suivre sans tabous les règles ancestrales issus de l’ancêtre au grand-père jusqu’au père et fils. Malheureusement, il me semble que certains intellectuels comme dans cette affaire, pensent hélas qu’ils sont détenteurs de ces règles et pensent que ceux qui les connaissent mieux sont des bleus, ce qui est faux : car, a Fada comme ailleurs, nos sociétés traditionnelles avec ceux qui l’a suive de père en fils ne sont pas encore mortes, elles vivent, dictent nos réflexions et comportements, et elles sont un réservoir de sagesse encore utilisable pour redresser la barre de nos errements et de la mauvaise imitation du modèle occidental. La preuve c’est qu’un roi a été intronisé en premier a Fada dans les règles, avant qu’un intrus manipulé ne vienne mettre le feu. Connaissant nos règles de coutumes dans des affaires de ce genre, ça se termine toujours mal.
Evidemment avec ma vérité qui rougit les yeux mais ne les casse pas, il y aura des internautes avec des petits cerveaux de primates qui ne peuvent pas faire la différence de ce que j’avance, simplement me dénigrer. Mais qu’ils sachent que je tire sur les deux camps (les deux rois.) Mais à quoi sert de tirer sur un corbillard qui roule si vite avec deux rois ? Je me concentre donc sur notre autorité qui, à elle seule peut arrêter cet enfantillage causé par des politiciens aux petits pieds.
leFaso.net
Merci Pr. T. Thiombiano pour cette analyse impartiale et simplement citoyenne. Oui je confirme que les politiciens aux petits pieds de notre pays divisent nos chefs coutumiers pour les pouvoirs régionaux et qui mette de l’huile dans le feu. Tout dont je souhaite au pays des hommes intègres, c’est qu’à l’Assemblée Nationale on vote une loi de régulation sociale, faute d’une institution de régulation sociale de notre société traditionnelle inexistante, comme il en existait au temps de mon ancêtre Naaba Koutou ; en ce moment-là, notre société traditionnelle était très, très vivante.
Avec ce qui se passe avec nos chefs coutumiers les garants de notre culture, je propose au régime de Roch Kaborè d’améliorer impérativement notre démocratie sur la base des principes transversaux des différentes sociétés traditionnelles de notre pays : Surtout d’interdire nos politiciens aux petits pieds de mettre leurs sales pates dans les affaires coutumières comme celle-ci dont les partis politiques avec un commis de la mairie foute la merde pour salir la dignité d’une ethnie très honorable. Si je dis d’interdire les cadres des partis politiques qui retournent dans leur région dont le seul but est de lutter pour les pouvoirs régionaux, ce sont eux les petits politiciens aux petits pieds qui s’opposent aux nominations des vrais chefs coutumiers, et manipulent les commis des communes avec des miettes, et qui bafouent notre culture comme ce qui se passe a Fada.
A Fada avec ces deux rois dont un reste qu’un fantôme, il y a du mensonge qui est la racine de tout dans cette affaire familiale. Et je dis a un de ces deux rois que ‘’’’le mensonge dégrade la dignité de l’homme, il suppose dans celui qui l’emploie le dessein prémédité de vouloir tromper. De quel œil le menteur peut-il être regardé dans le monde par les gens sensé et raisonnables ?’’’’ De toutes les façons, DESMOND MPILO TUTU, archevêque anglican sud-africain, prix Nobel de la paix a dit que : « Notre valeur dépend intrinsèquement de ce que nous sommes. » ; En ajoutant à cela que : « Rester neutre face à l’injustice, c’est avoir choisi son camp. » Et je dis à nos autorités de ne pas choisir ce camp là, mais dire la vérité a celui qui a tort, même s’il faut l’enfermer à la MACO pour que la paix revienne dans ce royaume.
Conclusion : Au Burkina de 2020 nous avons besoin d’une catharsis nationale sans tabous, il faut mettre sur la table la naissance ethnique de cette Nation, entrer dans sa sociologie ethnique et arriver probablement à la conclusion que toutes les ethnies du pays ont les mêmes droits et devoirs dans ce Faso : Et chaque ethnie a ne citer que les Dozos qui n’oublient rien, doit suivre sans tabous les règles ancestrales issus de l’ancêtre au grand-père jusqu’au père et fils. Malheureusement, il me semble que certains intellectuels comme dans cette affaire, pensent hélas qu’ils sont détenteurs de ces règles et pensent que ceux qui les connaissent mieux sont des bleus, ce qui est faux : car, a Fada comme ailleurs, nos sociétés traditionnelles avec ceux qui l’a suive de père en fils ne sont pas encore mortes, elles vivent, dictent nos réflexions et comportements, et elles sont un réservoir de sagesse encore utilisable pour redresser la barre de nos errements et de la mauvaise imitation du modèle occidental. La preuve c’est qu’un roi a été intronisé en premier a Fada dans les règles, avant qu’un intrus manipulé ne vienne mettre le feu. Connaissant nos règles de coutumes dans des affaires de ce genre, ça se termine toujours mal.
Evidemment avec ma vérité qui rougit les yeux mais ne les casse pas, il y aura des internautes avec des petits cerveaux de primates qui ne peuvent pas faire la différence de ce que j’avance, simplement me dénigrer. Mais qu’ils sachent que je tire sur les deux camps (les deux rois.) Mais à quoi sert de tirer sur un corbillard qui roule si vite avec deux rois ? Je me concentre donc sur notre autorité qui, à elle seule peut arrêter cet enfantillage causé par des politiciens aux petits pieds.