Quelle politique politicienne ! Des gens veulent seulement profiter des moyens et contacts de Bassolé pour gagner pouvoir et argent. Et on crée ce scandale pour le mettre dehors et arranger les choses. Malheureusement ce n’est pas digne d’un général. À la place de Bassolé, je ne ferais aucun signe de douleur même si je souffrais de fracture de dos. Car, un général, c’est le courage, l’endurance et la responsabilité. Sinon, c’est misérable. C’est trop mesquin de pleurer sa maladie comme si c’était la première fois il tombait malade ou venait d’apprendre que le mot mort existait. Yaa ya boin bala ? Mais comme il faut avoir Bassolé dehors pour son argent et ses contacts et arrangements politiques et autres magouilles, on choisit alors de tout exagérer avec des photos alarmantes et alarmistes pour réussir pression dans les émotions. Quelles maladies et propagandes et désinformations et interpellations tendancieuses. Pauvre Bassolé ; sache que même si tu guérissais par miracle, tu aurais déjà serais déjà affabulé et donc avili, dépersonnalisé. Grandeur, honneur où êtes-vous ? M’ma yéééé… !!
leFaso.net
Quelle politique politicienne ! Des gens veulent seulement profiter des moyens et contacts de Bassolé pour gagner pouvoir et argent. Et on crée ce scandale pour le mettre dehors et arranger les choses. Malheureusement ce n’est pas digne d’un général. À la place de Bassolé, je ne ferais aucun signe de douleur même si je souffrais de fracture de dos. Car, un général, c’est le courage, l’endurance et la responsabilité. Sinon, c’est misérable. C’est trop mesquin de pleurer sa maladie comme si c’était la première fois il tombait malade ou venait d’apprendre que le mot mort existait. Yaa ya boin bala ? Mais comme il faut avoir Bassolé dehors pour son argent et ses contacts et arrangements politiques et autres magouilles, on choisit alors de tout exagérer avec des photos alarmantes et alarmistes pour réussir pression dans les émotions. Quelles maladies et propagandes et désinformations et interpellations tendancieuses. Pauvre Bassolé ; sache que même si tu guérissais par miracle, tu aurais déjà serais déjà affabulé et donc avili, dépersonnalisé. Grandeur, honneur où êtes-vous ? M’ma yéééé… !!