Accueil > ... > Forum 1676094

Burkina : Un leader terroriste et cinq de ses hommes neutralisés dans le Centre-Sud

1er décembre 2019, 10:58, par Ka

Ici je voudrai dire a mes lectrice et lecteurs, que je pense que fermer sa gueule a une "valeur théurgique" que d’autres feront mieux d’accomplir : Je veux parler ici de l’internaute qui copie mes écrits et de m’accuser de faire des fautes.

Cette personne me casse les pieds (et je fais des efforts pour rester poli ) avec lui.

Ce que je voudrai que cette personne sache, c’est quand je me permets d’écrire une critique, je ne pense pas aux intellectuels qui se prennent pour le dictionnaire Larousse. ‘’’’’’’Moi en écrivant avec mon vieux compagnon qui est mon vieux ordinateur acheter dans les soldes a la Placette à Genève quand j’étais en mission en 1999 avec le groupe de l’OMS, cet ordi commence à me lâcher, revenir ce qu’on écrit avec un vieux ordi qui ne vous obéi plus n’est plus nécessaire.’’’’’’

Je ne suis pas comme la personne qui a pris mes écrits pour son fonds de commerce et me critiquer, lui il a un ordi de nouvelle génération. Mais moi en écrivant pour les intellectuels et ceux qui ne les sont pas, j’emploi très souvent le groupe nominal ’’processus rédactionnel :’’ Car, ’’rédactionnel’’ sonne si beau dans mes yeux que je me focalise dessus sans penser aux fautes. Vu mon âge, je considère qui mon vieux ordi de1999 subi les mêmes conséquences que moi, et je me débrouille avec en attendant sa fin.

Dans mon potager ou le temps me manque, surtout l’internet en dehors de la capitale patine, et tous les Burkinabé le savent, ou à la maison si je suis fatigué, en écrivant une critique fondée, je ne prends pas mon temps de la relire avant de l’envoyer, car je sais que mes lectrices et lecteurs savent que cette critique vient du cœur.

Je pouvais aussi écrire avec le simple Larousse comme celui qui me nargue : Qu’’il sache que si je prends ma plume sur une feuille vierge pour écrire une brochure comme celui de l’idéologie de l’armée, je n’utilise pas comme lui le Larousse qui est un dictionnaire d’écolier et que j’ai dépassé en utilisant le dictionnaire analogique de la langue française, puis celui de l’académie française, et celui de Maximilien Émile Littré.

Pour dire à celui qui se prend supérieur aux autres, que "j’ai même dépassé ce bijou de Maximilien (sic) Émile Littré pour construire mes propres définitions. Je ne m’appuie pas sur un lexicologue (rédacteur de dictionnaire) pour comprendre les mots que j’utilise." Ici je lui demande de ne plus copier mes écrits et créer par la suite son propre vocabulaire de sorte que son auto critique ne soit compréhensible que par lui seul, et après il vient donner des leçons aux autres en les accusant de faire des fautes, ou pire, de ne pas savoir écrire. Voilà la sinistre démarche de l’intellectuel de pacotille qui sévit sur Lefaso.net.

Je ne considère pas comme une honte d’avoir faits des fautes avec mon vieux ordinaire, simplement il faut employer des mots clairs, connus de tous, et d’être compris de toutes et tous, dans un sens univoque.

Encore une fois, je confirme que depuis les créations des sites des réseaux sociaux d’information dans notre pays, surtout sur le Forum de Lefaso.net, les pseudo-intellectuels comme celui qui se prend plus intelligent en copiant mes écrits pour me narguer, ont fait beaucoup de mal à notre pays et cherchent à en faire encore avec leurs divers "processus" d’intellectuels alimentaires. On ne gargarise avec des mots à la limite du néologisme dont on dévoie le sens pour se donner un semblant de supériorité et enfumer tout le monde dans un jargon obscur qu’on déclare « philosophique ».

Encore une foi, arrête de m’enfumer en recopiant mes écrits pour ton fonds commerce avec des critiques de dénigrement. Continu de lire mes écrits avec des supposées fautes, mais fait attention aux AVC.