Coopération militaire USA-Burkina : AFRICOM aux côtés des forces de défense et de sécurité burkinabè
18 septembre 2019, 10:10, par Le Pacifiste
Le Conseil de sécurité de l’ONU doit prendre la situation du Burkina en main. Si nous sommes membre de l’ONU, nous ne devrons pas être abandonné à notre triste sort. Sinon j’appelle mon pays à démissionner de l’ONU. Je dénonce en même temps le silence de cette organisation pour non-assistance à pays en danger. PLACER NOTRE PAYS SOUS LE CHAPITRE VII DE LA CHARTE DES NATIONS UNIES COMME LE RÉCLAMENT NOS AUTORITÉS, NE SERAIT PAS UNE MAUVAISE CHOSE. C’EST MÊME UN DROIT DE TOUT MEMBRE DE L’ONU. EN EFFET, CE CHAPITRE CRÉE LE CADRE DANS LEQUEL LE CONSEIL DE SÉCURITÉ PEUT PRENDRE DES MESURES COERCITIVES. IL PERMET AU CONSEIL DE CONSTATER « L’EXISTENCE D’UNE MENACE CONTRE LA PAIX, D’UNE RUPTURE DE LA PAIX OU D’UN ACTE D’AGRESSION » ET DE FAIRE DES RECOMMANDATIONS OU DE RECOURIR A DES MESURES MILITAIRES OU NON MILITAIRES « POUR MAINTENIR OU RÉTABLIR LA PAIX ET LA SÉCURITÉ INTERNATIONALES ».
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Le Conseil de sécurité de l’ONU doit prendre la situation du Burkina en main. Si nous sommes membre de l’ONU, nous ne devrons pas être abandonné à notre triste sort. Sinon j’appelle mon pays à démissionner de l’ONU. Je dénonce en même temps le silence de cette organisation pour non-assistance à pays en danger. PLACER NOTRE PAYS SOUS LE CHAPITRE VII DE LA CHARTE DES NATIONS UNIES COMME LE RÉCLAMENT NOS AUTORITÉS, NE SERAIT PAS UNE MAUVAISE CHOSE. C’EST MÊME UN DROIT DE TOUT MEMBRE DE L’ONU. EN EFFET, CE CHAPITRE CRÉE LE CADRE DANS LEQUEL LE CONSEIL DE SÉCURITÉ PEUT PRENDRE DES MESURES COERCITIVES. IL PERMET AU CONSEIL DE CONSTATER « L’EXISTENCE D’UNE MENACE CONTRE LA PAIX, D’UNE RUPTURE DE LA PAIX OU D’UN ACTE D’AGRESSION » ET DE FAIRE DES RECOMMANDATIONS OU DE RECOURIR A DES MESURES MILITAIRES OU NON MILITAIRES « POUR MAINTENIR OU RÉTABLIR LA PAIX ET LA SÉCURITÉ INTERNATIONALES ».