Comoé : Trois morts dont deux policiers lors d’une mission d’interpellation à Nafona
12 janvier 2019, 18:06, par SAMA François
La loi qu’on s’est prescrite est liberté dixit un philosophe. Franchement , plus qu’un nous sommes découragés. Quant le sens du respect d’autrui, du bien public n’est plus d’actualité au Burkina Faso. Combien de fois a-ton assisté à une violation de nos lois établies. Les populations se rendent justice eux-même. Dommage. Si cela est arrivé, les responsabilités doivent être établies. A la limite, qu’est ce qui ne va pas ? Le Burkina a t-il besoin d’une injustice ou de l’anarchie ? Tout le monde est interpellé. Rappelons-nous des vertus individuelles, la culture du Burkina. Chacun doit se mettre en cause de la situation que nous vivons actuellement au Faso. Sans paix, il n’y aura pas de cohésion sociale ni de développement. Vive le Faso. Que la cohésion sociale revienne au Burkina.
La loi qu’on s’est prescrite est liberté dixit un philosophe. Franchement , plus qu’un nous sommes découragés. Quant le sens du respect d’autrui, du bien public n’est plus d’actualité au Burkina Faso. Combien de fois a-ton assisté à une violation de nos lois établies. Les populations se rendent justice eux-même. Dommage. Si cela est arrivé, les responsabilités doivent être établies. A la limite, qu’est ce qui ne va pas ? Le Burkina a t-il besoin d’une injustice ou de l’anarchie ? Tout le monde est interpellé. Rappelons-nous des vertus individuelles, la culture du Burkina. Chacun doit se mettre en cause de la situation que nous vivons actuellement au Faso. Sans paix, il n’y aura pas de cohésion sociale ni de développement. Vive le Faso. Que la cohésion sociale revienne au Burkina.