Cinquantenaire du FESPACO : L’ambassadeur de France chez le ministre burkinabè de la culture

« il a laissé entendre que la France va essayer de restaurer les films qui ont été passés lors de la première édition de la semaine du cinéma de Ouagadougou en 1969 » Qui les avait brisés ? Donc le FESPACO a même des difficultés pour préserver son histoire et compte sur le virus français ? Si le FESPACO n’est pas capable de se faire un musée vivant, pourquoi alors fêter ? Si la France va vous créer et vous gérer les raisons de fête, alors, vive la falsification. Et demain on pleure ensemble la dépossession.