Interruption volontaire de grossesse au Burkina : Des polémiques stériles pour fuir une cruelle réalité ?
4 septembre 2018, 16:56, par sidsomde
Ce que la loi dit déjà de l’interruption de la grossesse est largement suffisant :
"L’avortement est interdit au Burkina, sauf dans certains cas. C’est notamment lorsque la poursuite de la grossesse met en danger la vie et la santé de la femme enceinte ; à la demande de la femme, lorsque la grossesse est la conséquence d’un viol ou d’une relation incestueuse ; lorsqu’il existe une forte probabilité que l’enfant à naître soit atteint d’une affection d’une particulière gravité au moment du diagnostic."
Quelque chose de plus devient une IVG sans limites.
Ce que la loi dit déjà de l’interruption de la grossesse est largement suffisant :
"L’avortement est interdit au Burkina, sauf dans certains cas. C’est notamment lorsque la poursuite de la grossesse met en danger la vie et la santé de la femme enceinte ; à la demande de la femme, lorsque la grossesse est la conséquence d’un viol ou d’une relation incestueuse ; lorsqu’il existe une forte probabilité que l’enfant à naître soit atteint d’une affection d’une particulière gravité au moment du diagnostic."
Quelque chose de plus devient une IVG sans limites.