Procès du putsch : « Le gendarme n’a pas peur de Dieu », se convainc Sidiki Ouattara
17 août 2018, 18:07, par Sidnoma
Ce procès a, au moins, l’avantage de nous montrer la face hideuse de notre fameux "redoutable RSP" qui s’octroyait tous les bons qualificatifs :
– corps d’élite,
– militaires très bien formés,
– militaires courageux, patati et patata...
Tout ça n’était que du pipo !...
– un général qui fuit au premier tir pour se réfugier au milieu des soeurs religieuses,
– un commando qui déserte son camp parce que son oncle lui a parlé au téléphone d’une éventuelle attaque
– des commandos qui mentent d’une manière éhontée pour éviter une sanction.
P.R. : Le Capitaine Sankara, pendant que des armes de guerre détonaient à la porte de la salle de réunion a dit à ses camarades : "restez, c’est moi qu’ils veulent" et est sorti de la salle pour faire face à son destin....
Ce procès a, au moins, l’avantage de nous montrer la face hideuse de notre fameux "redoutable RSP" qui s’octroyait tous les bons qualificatifs :
– corps d’élite,
– militaires très bien formés,
– militaires courageux, patati et patata...
Tout ça n’était que du pipo !...
– un général qui fuit au premier tir pour se réfugier au milieu des soeurs religieuses,
– un commando qui déserte son camp parce que son oncle lui a parlé au téléphone d’une éventuelle attaque
– des commandos qui mentent d’une manière éhontée pour éviter une sanction.
P.R. : Le Capitaine Sankara, pendant que des armes de guerre détonaient à la porte de la salle de réunion a dit à ses camarades : "restez, c’est moi qu’ils veulent" et est sorti de la salle pour faire face à son destin....