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Affaire Dabo Boukary : Les deux versions de Me Halidou Ouédraogo

21 février 2017, 06:57, par Ka

Quelques criminels en puissance pensent que le peuple Burkinabé est amnésique : Heureusement de 1990 à nos jours, des témoins, des écris et des discours dans nos archives peuvent être ressortis et enterrer ces faucons qui se disaient intouchables. Les crimes de sang avec les soulèvements populaires pour la justice de 1998 à 2001, qui sont les affaires de Norbert Zongo, ou de Guillaume Sessouma a Dabo Boukary et de David Ouédraogo, jusqu’au 30 mars 2001 avec le fameux pardon aux larmes de crocodiles de Blaise Compaoré a l’stade du 4 Août, les responsables de la CIE, les sages, et avec le retour du MBDHP d’Halidou Ouédraogo a cette commission, ont donné des versions des faits très différentes à celles de ce que nous apprenons en ce moment. Tout dont je demande à Mr. Halidou Ouédraogo, c’est de s’abstenir ses sorties de soutiens a une personne dont il était farouchement contre, à cause de sa complicité dans l’affaire du jeune Dabo Boukary, et laisser la justice faire son travail, car cette personne crie sur les toits qu’il souhaite que cette affaire soit jugé en premier. Pour un éclaircissement a cette affaire, Il suffit de revoir les discours d’Halidou Ouédraogo avec le collectif de 1999-2001, dans les salles de conférence au Burkina, comme à Paris, et le juger avec ses dires aujourd’hui : Nous comprendrons le CUL- de-SAC politique du Burkina. L’auteur de cette analyse, ni les juges, n’avaient pas besoin d’aller plus loin pour contredire la sortie d’aide à Salif Diallo par Halidou Ouédraogo, ‘’’’les archives de la RTB sur les discours de ce dernier peuvent le prouver, ou il fallait être avec la commission Indépendante d’enquête installée le 7 janvier 1999 avec le retour du MBDHP d’Halidou Ouédraogo, car a la réunion de la recherche du consensus dont le dossier de DABO Boukary était à la discussion, les versions des faits ne ressemblent pas à celle relaté par notre Halidou nationale.’’’ Halidou oublie qu’il y a des témoins de la CIE vivants, et qui peuvent témoignés. Tout dont je demandes à nos intellectuels de certains âges, qui ont fait le Burkina tel qu’il est aujourd’hui, c’est de dire la vérité a notre jeunesse innocente, qui a dit que rien ne sera plus comme avant, afin qu’elle puisse faire avancer le Burkina que nous aimons sans triches, ni crimes, ni la corruption à ciel ouvert.


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