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Commission constitutionnelle : Les délégués CSBE France ne reconnaissent pas leur représentant

8 juin 2016, 19:06

@ à Kéré, celui ne prendra jamais de la hauteur !

1. Coordonateur : M. Nabaloum Sibiri, qui travaille dans une cantine scolaire à la ville de Paris pour faire manger les enfants de la maternelle.
2. Antoine Yougbaré, Cinéaste (quelqu’un qui fait des films)

Quels propos méprisants à l’égard de compatriotes ! Quelle suffisance ! Quelle arrogance.! Dites nous, est ce dégradant de travailler dans une cantine scolaire et gagner sa vie dignement ? Un cinéaste ne contribue-t-il pas avec ses oeuvres à exporter la culture de son pays et à vendre son image ? Croyez vous que le fait avoir un doctorat fait de vous un être intelligent ou supérieur à une personne qui s’occupe des enfants sur le temps de l’école ? Si le fait de posséder un diplôme universitaire ( fusse-t-il le plus élevé ) faisait de quelqu’un un génie, alors on vous citerai en exemple. Tout ce que susciter c’est du rejet , de l’antipathie. A défaut de trouver des arguments pour vous accrocher à cette ultime bouffée d’oxygène ( échec au poste de consul, coordinateur et secrétaire du bureau CSBE-France pour la mise du Comite de suivi ), vous dénoncez maladroitement un procès en sorcellerie tout ayant la prétention de défendre. Voyez-vous de tels propos sont indignes de la part de quelqu’un qui fédérer les Burkinabê de France sur la nécessité de rédiger une nouvelle constitution, cette loi fondamentale qui va déterminer, organiser le vivre ensemble et faciliter à la fois notre épanouissement politique, économique et social. Vos propos justifient une fois de plus pourquoi vous êtes disqualifié pour représenter les Burkinabê de France. Nous voulons une personne qui ait une grandeur d’esprit , ce qui vous fait cruellement défaut. Monsieur le Ministre des Affaires Etrangères, ce serait une erreur grave si vous ne reveniez pas sur la nomination de M Kéré et du représentant de l’Amérique du Nord. Vous avez là une occasion de démontrer à l’opinion que " plus rien ne sera comme avant".