Tenkodogo : les Koglwéogo la kidnappent pour mettre la main sur son copain voleur

Monsieur Le Ministre Simon Compaoré devra immédiatement mettre fin à ses crises d’amour avec ses Koglweogo qui en font déjà trop.
Monsieur Le Ministre, s’il y a défaillance de l’Etat quelque part, il n’est nullement juridiquement bienséant que vous autorisez la loi de la jungle en laissant piste libre à des loubards. Les koglweogo méritent bien ce nom de loubards.

Ces koglweogo devaient s’adresser auprès de la Gendarmerie/Police de Tenkodogo pour mener des enquêtes. En quelle qualité ces individus munis d’armes de guerre peuvent s’en prendre à la progéniture d’un citoyen et la contraindre pour un voyage sur Ouagadougou ? En cas d’accident mortel, qui assumerait les conséquences pécuniaires et d’affection subis par les parents de cette fille dont le péché aura été d’être la petite amie de ce jeune délinquant.

En utilisant le téléphone pour attirer ce jeune délinquant pour mettre la main sur lui n’était-il pas possible de faire autant en demeurant à Tenkodogo ?

L’action des gendarmes en faction au poste de péage de Fada N’gourma est laxiste et condamnable. Connaissant la brutalité des koglweogo, il est intolérable que des officiers de police judiciaire que sont les gendarmes laissent une jeune citoyenne sans Pièce d’Identification être emportée manu militari par les koglweogo.

Monsieur Le Ministre Simon Compaoré, j’ose croire que vous n’ignorez pas que votre tolérance à l’egard des koglweogo est une mise en risque de l’Etat Burkinabe devant les Tribunaux de la République pour répondre des prejudices corporels et/ou financiers devant etre indemnises