« La communauté internationale ne tolèrera aucune entrave à la transition », dixit Jeffrey Feltman, Secrétaire général adjoint de l’ONU chargé des affaires politiques

Ces gars ont sans doute des informations que le Burkinabè lambda n’a pas. Ils ne veulent plus de militaire même en civil au pouvoir. Que ceux qui sont nostalgique d’un passé à jamais révolu se le tienne pour dit. On ne peut pas hypothéquer l’avenir de tout un pays pour les intérêts égoïstes d’une minorité. Sous la révolution on disait qu’un militaire sans formation politique est un criminel en puissance. Que celui ou celle qui sera élu(e) comme président(e) se trouve un local pour présidence et laisse le palais actuel pour ceux qui pensent qu’ils ont plus de droit à y résider que d’autres.