RÉFORMES POLITIQUES AU BURKINA : Les députés accordent l’amnistie aux chefs d’Etat

Bonjour à tous et merci à tous ceux qui ont bien réagir face à l’innommable forfaiture des députés de Blaise Compaoré !
En effet tout le monde conviendra avec moi que dans l’ensemble, toutes les modifications ont été opérées dans le but de soustraire Monsieur Blaise Compaoré par une Amnistie, lui permettre de se représenter par l’augmentation de l’âge maximum pour être candidat à la Présidence et le Sénat sera là pour empêcher la prochaine législature, que le Président n’est plus sûr de pouvoir contrôler, de fonctionner correctement et aller dans le sens de la volonté populaire.
Sinon, nous savons tous que à part M. Blaise Compaoré, aucun ancien président n’a besoin de cet Amnistie pour circuler librement et partout où ils le désirent, c’est d’ailleurs même ce qu’ils ont fait jusque là sans problème.
Ce qui est là c’est que l’Assemblée Nationale pour des question touchant au texte fondamental de la République, qu’est la constitution, le peuple devrait directement être consulté par référendum. Il est à dénoncer donc le caractère d’abus de confiance des député vis à vis du peuple par rapport à cette présente modification de notre constitution.
J’accuse l’opposition de n’avoir pas pris les mesures nécessaires pour empêcher ce tripatouillages de notre loi fondamentale et d’en être complice de fait. Car à mon humble avis cette opposition aurait pu prévenir l’opinion public afin que des actions puissent être prises pour empêché ce jeu enfantin qui consiste poser un acte et attendre des bonbon en retour.
Tout n’est pas jouer pour l’instant, tout reste à restituer et cela dépendra de tout le monde. Si l’Assemblée présente à pu changer les choses aujourd’hui, une autre Assemblée pourra les changer demain. Ils faudra donc sanctionner dans les urnes ces partis qui ont pris fait et cause pour l’impunité. Attendons les au tournant de décembre 2012.