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Situation nationale : Le capitaine Traoré met les points sur les i…, « il n’est pas question de négocier »

7 mai 2023, 10:02, par Ka

‘’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’A’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’ Yako : Simplement je ne commente pas les analyses qui ne m’intéresse pas. Et qui sait, un jour tu liras mes mémoires. En lisant ta contribution, je vois que tu as la mémoire courte. Je ne suis pas là pour défendre qui que ça soi : Mais je vois que le jeune Traoré suit les traces de Roch Kaboré qui avait pris la justice comme son guide : Et j’en heureux pour ce que le jeune Traoré fait pour que le droit soit dit pour les crimes gratuits. Roch Kaborè a fait son rôle en laissant condamné les criminels en puissances, parmi ces condamnés, ton mentor dont tu ne digère pas. Rappelle-toi de la promesse de Roch Kaboré au peuple Burkinabé a sa prise du pouvoir. Voilà ce qu’il disait :

Le président burkinabè Roch Marc Christian Kaboré a appelé dimanche à "rendre justice dans toutes les affaires sensibles", dont les dossiers de l’assassinat de Thomas Sankara, Norbert Zongo, du putsch manqué et de l’insurrection populaire, pour "aider le peuple
à se réconcilier".

"Nous devons tout faire pour que la justice soit rendue dans toutes (les) affaires sensibles pour aider notre peuple à se réconcilier avec son histoire, pour ramener la paix des coeurs et créer les conditions propices à la contribution de tous les Burkinabè à l’œuvre de construction nationale", a
déclaré M. Kaboré dans un discours radiotélévisé à la veille de la célébration du 57e anniversaire de l’indépendance du Burkina Faso.

"La réconciliation nationale reste un enjeu majeur que nous devons réussir, dans l’intérêt supérieur de la nation", a-t-il dit.

La justice militaire, une juridiction d’exception, doit solder une longue série de dossiers, dont principalement ceux du putsch manqué de septembre 2015 et de l’assassinat du "père de la révolution" burkinabè, le capitaine Thomas Sankara, tué lors du coup d’Etat qui porta l’ex-président Blaise Compaoré au pouvoir en 1987.

Également en instance, le dossier du journaliste d’investigation Norbert Zongo, tué en 1998 avec trois compagnons, a connu une évolution avec la mise sous contrôle judiciaire de François Compaoré, frère du président déchu Blaise Compaoré, poursuivi pour "incitation à assassinats".

M. Kaboré a dit "saluer l’avancée des dossiers pendants devant la justice", tout en rappelant aux acteurs chargés de les vider que "la soif légitime de justice des Burkinabè reste intacte"

Yako : Je suis rassuré quand je lis le jeune Traoré et je souhaite qu’il tienne parole comme M. Kafando jusqu’à la fin de la transition en organisant des élections transparentes pour redonner le Burkina sa fierté.

Conclusion : Revenant à ta contribution, en effet la mauvaise est une des qualités ou défauts les mieux partagés ici-bas ! comment peut-on comparer un régime sans crime comme celui de Roch Kaboré au votre ? Ce qui est certain, avec un régime démocratique, même si tout n’est pas parfait loin de là, il fait mieux vivre et ce sur tous les plans, indéniablement !!! Avec ce qui arrive a notre pays, ouvrons les yeux et apportons notre pierre à l’édifice pour avancer tous ensembles, ne soyons pas dans le déni. Les Burkinabés valent mieux que ça. Porte toi bien las-bas.