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Guerre en Ukraine : La CPI émet un mandat d’arrêt contre Vladimir Poutine

19 mars 2023, 11:59, par Ka

‘’’’’’’’’’’’’’’’’’’A’’’’’’’’’’’’’’’’’’’ West merci de me lire et aussi de ta réaction positive. Ayant été partisan de la lutte pour le multipartisme afin que la démocratie puisse prendre le dessus en Afrique, j’ai toujours dit que l’UA s’occupe davantage de la longévité des dictateurs africaines qui ont banalisé le crime de leurs citoyens. Chacun récolte ce qu’il a semé dans ce bas monde : Qui l’aura cru que H, Habré ou Blaise Compaoré seront condamnés dans ce bas monde ? Poutine, même si la CPI n’arrive pas à le condamner, le peuple Russe s’en chargera un jour

Pour moi, la CPI a toujours été deux poids deux mesures : L’accusé quand elle agit comme lancé des poursuites contre Poutine c’est d’être criminel comme ce Poutine, Mobutu, Amin Dada, Blaise Compaoré : Car, en Afrique les chefs d’Etat sont les premiers génocidaires de leurs propres peuples. Voilà ce que l’un d’eux disait à sa police : "Mâtez-les, faites votre travail, après nous règlerons politiquement le problème", comme s’il n’avait pas été assez clair en affirmant "mille morts à gauche, mille morts à droite.

Au lieu de parler du retrait de la CPI, l’UA devait d’abord créer un instrument pour se pencher sur les crimes actuels en RDC du Soudan, excet…... Mais curieusement c’est le silence radio ! C’est celui qui se sent morveux qui se mouche. Ils sont donc libres de quitter la CPI ; mais qu’ils soient certains qu’ils ne tueront plus gratuitementleurs populations. CPI ou pas, ils seront jugés et punis. Demandez à Yaya Jammeh pourquoi il a abandonné son joli village où il voulait se la couler douce. Une seule question aux tarés qui soutiennent Poutine et autres criminels, ’’’pourquoi l’UA ne s’occupe pas des bourreaux des peuples africains ?’’’

West, les quatre années passées, dans la zone de l’Afrique de l’Ouest, trois pays ont égoïstement fait reculer la démocratie qui est le seul outil mondiale pour le développement. Mais je confirme que dans les quatre années à venir, les fausses transitions faites par des officiers alimentaires seront repris par une nouvelle génération de Sankara qui n’exclura personne, et qui ont des objectifs concrets pour travailler diplomatiquement avec tout partenaires fiables a développer le continent. Ce que les mendiants qui attendent que la Russie vienne les sauver oublient qu’a cause des putschistes alimentaire, les trois pays sont à la traîne en matière de démocratie. Malheureusement les peuples moutons de ces pays dont les putschistes se croient des Dieux bénéficient des soutiens et complicités des criminels du groupe Wagner qui profitent violer nos femmes et piller nos richesses.

Conclusion : l’une des causes des malheurs de l’Afrique, c’est d’avoir des populations qui comptent beaucoup plus sur les Occidentaux que sur elles-mêmes pour arriver à bout des dictateurs. Ces populations croient à tort que l’Occident les tirera du bourbier politique.

C’est d’ailleurs cette attitude des peuples se comportant parfois en spectateurs de leur propre destin, qui a permis des premiers ministres comme le nôtre a vendre le Burkina dont a travers le monde n’a plus de dignité. Mais, dans ces jours, on remarque que 60% du peuple sont en train de se réveiller, heureusement, poussés certainement par la perte de nos régions a cause d’un premier ministre qui pense qu’a la copie avec le Mali. En tous les cas, les putschistes alimentaires qui se collent comme des mouches a la Russie ont du souci à se faire, après la poursuite de la CPI contre le criminel Poutine, car, personne n’est a l’abri en trompant son peuple. La race de chefs d’Etat toujours accrochés au pouvoir comme Poutine et autres, est en voie de disparition et ils devraient une bonne fois pour toute, en prendre conscience. Le processus semble irréversible. Les présidents les plus intelligents seront ceux qui sauront anticiper pour sortir par la grande porte, aux fins de se prémunir contre toute bourrasque démocratique. Ceux qui s’entêteront finiront tôt ou tard par être balayés par leur peuple.