Burkina-Mali-Niger : « Ces trois pays représentent l’avant-garde d’une révolution panafricaine », Alex Anfruns, écrivain
9 février, 07:54, par Renault HÉLIE
Bôf, voilà ce qu’on appelait un « pied rouge » dans les années soixante, un journaliste ultra-gauchiste de la mouvance trotskiste, un peu comme la défunte revue « Afrique-Asie » subventionnée par Brejnev. Aujourd’hui, on les appelle des « islamogauchistes ». Des gens isolés et sans aucun intérêt ni compétence économique, mais qui veulent toujours des révolutions les plus sanglantes possible dans le tiers-monde, tout en continuant à vivre comme des « bobos », des « bourgeois bohêmes », bien à l’abri des famines qu’ils provoquent dans le tiers-monde.
Voilà un adepte du « romantisme bourgeois de l’enfer sur Terre », mais l’enfer chez les autres, jamais chez eux. Ces gens-là ont fait un mal infini à des pays pauvres, qu’ils voudraient encore plus pauvres et encore plus misérables. Mais faudrait surtout pas les déranger ni dans leur arrondissement bourgeois de Paris, ni dans leur villa sur le bassin d’Arcachon avec jetée pour leur mini-yacht.
– Ils ADDOOOOOOORENT l’enfant africain aux côtes saillantes qui meurt de faim observé par un oiseau charognard, c’est si romantiiiiiique !
– Ils détestent l’enfant brun ou asiatique trop joufflu, avec des parents prospères qui reçoivent leur belle voiture et qui meublent leur petite villa moderne en achetant des gadgets sur Internet, genre Thaïlande, Maroc ou Inde. Voir progresser l’Inde ou le Vietnam dans une belle coopération gagnant-gagnant avec l’UE et l’Amérique, ça les fait baver de rage et rouler des yeux d’épileptiques.
En fait, ce genre de bougres aiment les pauvres qui s’appauvrissent, pas les pauvres qui sortent du cauchemar. Ça déteste les pays qui s’industrialisent et se développent, le Maroc, la Côte d’Ivoire, la Tunisie d’avant 2010, Taïwan, le Vietnam, la Thaïlande, Singapour, la Corée du Sud et même la Chine. Ils n’aiment que les pays qui s’enfoncent dans la misère et la m*#de noire par des politiques stupides, le Venezuela, le Zimbabwe, la Somalie, le Yémen, l’Érytrée, etc., des pays d’où toutes les classes moyennes décampent vers les USA, l’Europe de l’ouest ou le Canada ; c’est ainsi que l’Espagne grouille de Vénézuéliens réfugiés fort bien réinstallés, et que les Cubains de Floride sont, à eux tous seuls, bien plus riches que Cuba toute entière, qu’ils aident abondamment en envoyant dollars et colis.
Si, en plus, ces vautours islamogauchistes arrivent à obtenir une guerre civile de 30 ans chez leurs « amis pauvres », leur bonheur est total ; il y ont bien réussi au Yémen, en Somalie, en Éthiopie, etc. ; bravo !, il y a de quoi être fier de son esprit révolutionnaire quand on a créé un chaos grandiosement esthétique et du malheur photogénique.
Donc, franchement, ce n’est pas un cadeau pour le BF d’être félicité par ce genre de charognard snob des beaux quartiers, ça annonce plutôt des ennuis.
Quant à lui-même, il aura toujours Papa et Maman pour le tirer d’affaire, plus, probablement, ses parents avocats, des oncles gros marchands de vin et des cousins qui possèdent la moitié d’une célèbre station balnéaire du Sud-Ouest de la France, etc..
Bon, vous aurez été prévenus, vous êtes des grands garçons ... Mais, conseil d’ami, si vous voyez proliférer ce genre de personne toxique chez vous, apprenez vite à cuisiner les cailloux, ça vous servira bientôt.
Pas mauvais, les cailloux avec une bonne sauce sans trop de sable, hé, hé ...
Bôf, voilà ce qu’on appelait un « pied rouge » dans les années soixante, un journaliste ultra-gauchiste de la mouvance trotskiste, un peu comme la défunte revue « Afrique-Asie » subventionnée par Brejnev. Aujourd’hui, on les appelle des « islamogauchistes ». Des gens isolés et sans aucun intérêt ni compétence économique, mais qui veulent toujours des révolutions les plus sanglantes possible dans le tiers-monde, tout en continuant à vivre comme des « bobos », des « bourgeois bohêmes », bien à l’abri des famines qu’ils provoquent dans le tiers-monde.
Voilà un adepte du « romantisme bourgeois de l’enfer sur Terre », mais l’enfer chez les autres, jamais chez eux. Ces gens-là ont fait un mal infini à des pays pauvres, qu’ils voudraient encore plus pauvres et encore plus misérables. Mais faudrait surtout pas les déranger ni dans leur arrondissement bourgeois de Paris, ni dans leur villa sur le bassin d’Arcachon avec jetée pour leur mini-yacht.
– Ils ADDOOOOOOORENT l’enfant africain aux côtes saillantes qui meurt de faim observé par un oiseau charognard, c’est si romantiiiiiique !
– Ils détestent l’enfant brun ou asiatique trop joufflu, avec des parents prospères qui reçoivent leur belle voiture et qui meublent leur petite villa moderne en achetant des gadgets sur Internet, genre Thaïlande, Maroc ou Inde. Voir progresser l’Inde ou le Vietnam dans une belle coopération gagnant-gagnant avec l’UE et l’Amérique, ça les fait baver de rage et rouler des yeux d’épileptiques.
En fait, ce genre de bougres aiment les pauvres qui s’appauvrissent, pas les pauvres qui sortent du cauchemar. Ça déteste les pays qui s’industrialisent et se développent, le Maroc, la Côte d’Ivoire, la Tunisie d’avant 2010, Taïwan, le Vietnam, la Thaïlande, Singapour, la Corée du Sud et même la Chine. Ils n’aiment que les pays qui s’enfoncent dans la misère et la m*#de noire par des politiques stupides, le Venezuela, le Zimbabwe, la Somalie, le Yémen, l’Érytrée, etc., des pays d’où toutes les classes moyennes décampent vers les USA, l’Europe de l’ouest ou le Canada ; c’est ainsi que l’Espagne grouille de Vénézuéliens réfugiés fort bien réinstallés, et que les Cubains de Floride sont, à eux tous seuls, bien plus riches que Cuba toute entière, qu’ils aident abondamment en envoyant dollars et colis.
Si, en plus, ces vautours islamogauchistes arrivent à obtenir une guerre civile de 30 ans chez leurs « amis pauvres », leur bonheur est total ; il y ont bien réussi au Yémen, en Somalie, en Éthiopie, etc. ; bravo !, il y a de quoi être fier de son esprit révolutionnaire quand on a créé un chaos grandiosement esthétique et du malheur photogénique.
Donc, franchement, ce n’est pas un cadeau pour le BF d’être félicité par ce genre de charognard snob des beaux quartiers, ça annonce plutôt des ennuis.
Quant à lui-même, il aura toujours Papa et Maman pour le tirer d’affaire, plus, probablement, ses parents avocats, des oncles gros marchands de vin et des cousins qui possèdent la moitié d’une célèbre station balnéaire du Sud-Ouest de la France, etc..
Bon, vous aurez été prévenus, vous êtes des grands garçons ...
Mais, conseil d’ami, si vous voyez proliférer ce genre de personne toxique chez vous, apprenez vite à cuisiner les cailloux, ça vous servira bientôt.
Pas mauvais, les cailloux avec une bonne sauce sans trop de sable, hé, hé ...