Des petits hameaux de culture aux grandes métropoles en passant par la langue et même les us et coutumes, lui, en connaît dans les moindres détails. Henri Voron est le plus Burkinabè des Français. Depuis 1966, il fait la navette entre sa ville natale, Lyon (France) et l’Afrique, plus particulièrement le Burkina Faso. Ce Français d’origine et Burkinabè d’adoption a passé plus de la moitié de sa carrière professionnelle sous le sol burkinabè. Il est resté attaché au pays des hommes intègres après sa retraite et s’est même installé en construisant une auberge : « Pe-Kim-Songo : le Bon berger ». Ingénieur spécialisé en hydraulique et en agriculture tropicale mais aussi en coopération, Henri Voron a fait du Burkina, sa terre d’adoption. Portrait !
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