:: Conseil africain et malgache pour l’enseignement supérieur : Une réunion (...)

Une réunion du comité des experts du Conseil africain et malgache pour l’enseignement supérieur (CAMES) s’est ouverte ce lundi 28 mai 2018, dans la capitale burkinabè, Ouagadougou. Présidée par le représentant du ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation, le secrétaire d’État Dr Urbain Couldiati, elle vise globalement la préparation de la 35e session du conseil des ministres du CAMES.

Deux jours durant, les experts des pays membres du Conseil africain et malgache pour l’enseignement supérieur(CAMES), réunis à Ouagadougou, auront pour tâche principale la préparation du terrain à la 35e session du conseil des ministres de ladite organisation. En effet, et comme l’affirme si bien le secrétaire général du CAMES, Pr Bertrand Mbatchi, il sera question de « préparer les dossiers qui seront soumis à l’attention au huis clos du conseil des ministres ». Aussi reviendra-t-il aux experts, si l’on s’en tient aux propos du Professeur, d’examinerentre autres le rapport de 2017 du secrétariat général, réfléchir sur le budget de 2019 et prendre des résolutions afin d’apporter les ajustements nécessaires qui maintiendraient le CAMES à la compétitivité mondiale.

Représentant du ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de l’innovation(MESRSI), le secrétaire d’Etat, Dr Urbain Couldiati

Pour celui qui a présidé l’ouverture des travaux de la réunion, le secrétaire d’État Dr Urbain Couldiati, la rencontre des experts de Ouagadougou, qui se tient également dans un contexte de jubilé du CAMES, offre l’occasion de revisiter tout le parcours depuis 50 ans. Il s’agira, de fait, « de réfléchir sur les enjeux du futur CAMES », a-t-il précisé.

En dépit des résultats satisfaisants engrangés, note-t-il par ailleurs, le CAMES est confronté à un certain nombre de difficultés (manque de ressources financières et humaines…), qui menacent sa survie.Et d’estimer pour terminer, que l’ensemble des questions soulevées sera soumis au délibéré des différents chefs d’État pour la recherche d’éventuelles solutions aux problèmes de l’institution, notamment pour son renforcement et son leadership dans l’enseignement africain et mondial.

Tambi Serge Pacôme Zongo
Lefaso.net

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